Y aura-t-il des miracles ?

Zorro, le « converti », pourra peut-être réveiller les morts et chasser les mauvais esprits : depuis trois ans, il a soigné mais il n’a pas guéri.

Zorro a beaucoup appris : a-t-il appris à écouter son peuple ? Alors, pourquoi pas des miracles sur le plan sanitaire, social et économique ?

Parviendra-t-il à transformer l’eau en vin ? Pourquoi pas. Il transformera peut-être la dette en un prêt du Trésor auprès des Français mais il ne faudra pas imiter l’emprunt russe dont on avait des valises entières parce qu’il fallait, à l’époque, sauver la Russie.

La France pourra alors, peut-être, reprendre sa place dans le monde. Faudra-t-il encore beaucoup mieux payer nos petits génies, quoi qu’il en coûte… Cela évitera d’utiliser l’argent des Français à fonds perdus.

Aujourd’hui, la principale exportation que l’on fait, ce sont nos petits génies qui vont tenter de mieux gagner leur vie, sous d’autres cieux : c’est une grande dérive de la France. Il y a tout de même un petit problème de morale : ne pensez-vous pas ? La France mérite mieux que des sauve-qui-peut pour de l’argent. Ne pourrait-on pas leur donner l’envie de rester en France, quoi qu’il en coûte ? Aider nos entreprises, c’est bien et utile, conserver nos petits génies, c‘est vital.

Que de miracles faudra-t-il pour que notre beau pays puisse être respecté dans le monde mais, pour cela, il faut que Zorro, le converti, accepte des solutions du bon sens et de l’évidence.

La supercherie

Faire croire à ce que l’on n’a pas ou ce que l’on n’est pas, est une supercherie que Monsieur Poutine sait utiliser, mais pas seulement Monsieur Poutine.

Car, en France, on a fait croire qu’il y avait un vaccin miracle, mais le vaccin a ses règles immédiates et dans le temps. Le prétendu vaccin qui nous est offert pour le COVID 19 n’est pas un vaccin mais un traitement en soignant avec des anticorps.

En France, on ne mène par la guerre contre le virus, on ne soigne que les blessés actuels et à venir.

Il n’y aura jamais d’armistice avec le virus que l’on n’aura pas voulu tuer. Il en est de même en Ukraine qui a les mêmes problèmes que nous sur le plan sanitaire et qui a, en plus, un virus guerrier qui est Monsieur Poutine et qu’il faut, lui aussi, détruire.

Monsieur Poutine fait croire en ce qu’il n’a pas et en ce qu’il n’utilisera pas mais il demeure un virus dangereux qui repartira en guerre tant qu’on ne l’aura pas éliminer, tôt ou tard. Poutine est devenu une dérive de la nature, au même titre qu’Hitler qu’il a fallu aussi tuer.

En fait, Hitler s’est tué en jouant à la roulette russe. Il ne reste que cette solution-là à Monsieur Poutine. En jouant avec les mots, on finit par ne plus y croire, à juste titre. Il ne suffit pas de soigner les blessés de guerre ou de COVID, il faut en détruire la cause avec des moyens simples et naturels et pour le COVID, en France, comme pour la guerre en Ukraine, il faut opposer un mur de feu.

Notre supercherie vis-à-vis du COVID et la supercherie de Poutine avec ses armes de musée, nécessitent beaucoup de courage de notre part et de nos dirigeants politiques.

On a vu qu’en Ukraine, c’est le peuple qui gagnera la guerre, faudra-t-il qu’en France ce soit le peuple qui gagne la bataille du COVID ?

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