Quelles sont donc ces évidences que le pays refuse ? :
- Celle des causes vitales, politiques et économiques
- Celle du nombre de naissances
- Celle de la neutralité par la laïcité
- Celle de l’immigration, par le refus de donner aux pays africains les moyens de leur indépendance ou, tout simplement, les moyens pour y vivre
- Celle de notre refus de braver les dérives de la nature, par les moyens à l’origine de la vie
- Celle des moyens énergétiques nucléaires, par le retour d’une production là où est la consommation, avec de mini réacteurs nucléaires
- Celle du refus de pouvoir vivre de son travail, sans charges accablantes
- Celle d’une exportation massive de nos produits et de nos services, à des prix compétitifs
- Celle d’une scolarité du futur, tout en respectant le passé
- Celle de la découverte, tant pour la santé que pour les techniques ; aujourd’hui cette découverte n’est pas suffisamment rémunérée.
Un emprunt de 1 500 milliards
Cet emprunt sera garanti par l’État et pourra être accessible et transmissible à tous les Français uniquement.
L’intérêt de cet emprunt pourra être de l’ordre de 3 à 4%.
Cet emprunt sera cessible sans frais, entre Français. Il pourra avoir une durée de 15 ans. De plus, il redonnera à la France son indépendance financière. Cet emprunt est possible, compte tenu des disponibilités actuelles sur le compte des Français. Finalement, il nous permettra de repartir sur de nouvelles bases sans peur d’être envahis par quelque nation que ce soit.
Ramener notre dette à des proportions raisonnables qui ne devront pas dépasser 60% de notre PIB, est une sécurité pour la France.
Aujourd’hui, la France est dans la situation de la Grèce, il y a de cela quelques années. Les Grecs ont réussi ce désendettement, la France doit le réussir.
Les Émirats Arabes Unis du Qatar et de l’Arabie Saoudite mais aussi de la Chine ont aujourd’hui une grande partie de notre dette entre les mains. Tout le monde aura compris que nous ne voulons pas de leur civilisation ; nous voulons conserver la nôtre.
Pour parvenir à ce résultat, il est indispensable de ramener notre balance commerciale, non pas déficitaire, mais créditrice de 80 à 100 milliards annuels. Pour ce faire, il faut revenir à des prix compétitifs. Il faut arrêter de faire du n’importe quoi avec l’énergie. Nous n’avons pas à subir les défaillances des autres pays en la matière en rajoutant des taxes insensées sur notre production nucléaire.
Produire mieux et moins cher est faisable, faut-il encore le vouloir. Et contrairement à ce qui peut être dit, le génie français du pays des lumières, se doit de prendre ce chemin.
Nous ne pouvons pas continuer à être dépendants, que ce soit en matière de semi-conducteur, que ce soit en matière de médicaments. Quelle tristesse d’être soumis à ce point à d’autres pays qui n’ont rien d’européens.
Oui, les Français sont attachés à leur liberté, c’est cette corde sensible qu’il va falloir utiliser.