La crise n’est pas terminée, une autre crise vient se greffer

Une permission de quatre mois va être accordée au plan sanitaire.

Mais, comme la leçon de l’année dernière n’a pas suffi, tout recommencera en octobre, vaccins ou pas, rien n’ayant été fait pour éradiquer la cause.

Une crise économique va se greffer sur la crise sanitaire, une crise économique non préparée, et aucune solution n’est ébauchée. On peut toujours penser que nous allons vers une phase glorieuse, pourquoi pas ? C’est probablement faisable mais je crains en matière d’économique, comme pour le virus, que l’on rêve et que l’on risque de déchanter, faute d’avoir éradiqué le virus et faute d’avoir transférer les charges sociales sur le budget de l’État. Si le virus fait un ravage dans le monde entier, la mondialisation aura encore de pires effets parce qu’on ne veut rien faire et parce qu’on est entêté. Et, pendant ce temps, la Chine fanfaronne…

Les causes vont rester au vestiaire, les virus vont reprendre leurs forces avec des variants ou autres.

Le pouvoir d’achat réel s’effondrera. Mais, qu’importe ! le peuple paiera la dette et ce sont les plus démunis qui resteront sur le bord du trottoir.

La crise sanitaire plus la crise économique devraient pourtant permettre de prendre des mesures qui nous feraient rentrer dans un nouveau monde. Pour cela, il faudra éradiquer les virus et produire davantage à des prix compétitifs. Il nous faut, coûte que coûte, cette fois, entrer dans le royaume de la compétitivité. Sans cela, pas de salut !

LES VACCINS NE SUFFIRONT PAS

Les vaccins permettront de réduire provisoirement à 150 morts par jour, au lieu de 300, à 3 000 réanimations, au lieu de 6 000  et à 15 000 personnes hospitalisées, au lieu de 30 000. Bref, rien ne sera gagné. Nous continuerons à supporter des astreintes insupportables, chaque jour et chaque année.

Au risque de me répéter, seule l’éradication du virus permettra, avant 2022, de ramener les chiffres à zéro mort par jour et à zéro personne hospitalisée dans nos hôpitaux.

L’élection présidentielle du mois de mai 2022 perdra sa légitimité car nous serons en pleine guerre ou nous continuerons d’être en pleine guerre.

Les accusations à l’encontre de Monsieur Macron pèseront très lourd tant sur le plan sanitaire que sur le plan économique. Dès à présent, l’élection présidentielle doit être reportée sauf s’il y a décision ou volte-face de la part des dirigeants politiques pour mettre en place l’éradication du virus et la désinfection généralisée par des rayons ultraviolets tout spécialement là où le soleil ne pénètre pas.

Je demande, dès à présent et d’urgence, aux dirigeants et aux industriels de produire suffisamment de dispositifs à rayons ultraviolets si l’on ne veut pas se trouver avec le même problème que les masques qu’on n’avait pas. La France peut produire, la Hongrie également.

Le problème de la crise économique ne pourra pas se résoudre avant la fin de la crise sanitaire.

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