L’économie et la santé
Nous sommes dans une mondialisation qui nécessite obligatoirement une bonne santé physique et intellectuelle.
On ne peut plus faire du social si l’on n’a pas maîtrisé les dépenses de santé. On ne peut plus être compétitif sans être en bonne santé.
On va me dire qu’il y a la médecine pour soigner. Oui, mais c’est déjà trop tard, et c’est trop cher. On n’a pas pris le bon chemin et le résultat est là avec des dépenses fulgurantes pour soigner.
Cette époque est terminée. A présent, il faut éviter d’avoir à soigner, pour le bonheur de chacun.
Notre économie reprendra le chemin de la compétitivité et encore davantage celui de la production, et avec moins de fatigue.
Les dérives de la nature portent atteinte aux piliers de la vie que sont les constantes. On rétablira le bien-être et le souffle de chacun durant une longue vie qui permettra de régler le problème des retraites.
Nous n’aurons plus à augmenter les salaires, ils augmenteront automatiquement par la réduction des charges sociales et de retraite.
Notre bien-être durera tout au long de notre vie. La solution, je l’ai trouvée, et nous la mettons en place par la fabrication en série des régulateurs de pressions atmosphériques.
Je souhaite à tous une autre vie dans un autre monde.
Arrêtons de mettre les vieux à l’écart
La vieillesse n’existera plus.
Donnons-nous la possibilité de conserver toutes les capacités de notre jeunesse.
Aujourd’hui, nous savons comment s’y prendre pour éviter la vieillesse qui commence au lendemain de la naissance.
La croissance n’est pas la vieillesse mais la destruction de nos cellules, faute d’oxygène, et dès la naissance.
Fixer une date pour prendre sa retraite est une aberration. Eviter la fatigue est une réalité et une possibilité purement technique. Même celui qui utilisera un marteau piqueur toute sa vie durant, ne se retrouvera pas fatigué.
J’exagère probablement mais c’est tellement la voie du bon sens, que j’insiste.
Oser, dans un espace de vie, s’attaquer aux pressions atmosphériques : rien de plus simple, que ce soit en dormant ou au travail.
On nous dit que la vie est un cycle, on pourrait tout autant le dire pour la baleine qui a cinq cents ans que pour l’arbre qui est millénaire.
Tout cycle, quel qu’il soit, peut être modifié, amélioré, transformé. Pour cela, il faut oser s’attaquer aux dérives de la nature.
Je veux vivre et faire vivre l’humanité en commençant par les Français et les Européens.
Tous nos problèmes de dettes, de déficits, d’immigration, de retraites, seront résolus. C’est exactement comme si on avait doublé notre population. Les bras ne manqueront plus.
Alors, agissons !