Faire du social, c’est quoi ? :
- c’est donner du travail à tous
- c’est reconstruire l’outil industriel de la France
- c’est transférer les charges sociales qui sont actuellement sur les salaires, sur le budget de l’État, c’est-à-dire financées par tous
- c’est donner à chacun le droit de vivre en pleine forme, longtemps et durant toute sa vie
- c’est accepter les causes de nos problèmes vitaux et économiques en les détruisant ou en les régulant
- c’est donner à la France l’espoir par une natalité aidée financièrement et matériellement
- c’est faire de l’école l’outil de l’avenir pour tous, c’est créer l’envie et l’espérance d’apprendre pour nos enfants ; pour ce faire, il faut des professeurs qui ne vivent pas dans le passé
- c’est aussi s’occuper davantage de ceux qui sont frappés par un handicap de naissance ou par accident : on ne rejette personne. C’est leur donner à tous la possibilité d’apporter aussi quelque chose à la France : nous devons tous être à leurs côtés
- ce n’est pas d’accroître les salaires mais de réduire les prix, rendu possible par la suppression des charges, ce qui entraînera une augmentation considérable du pouvoir d’achat
10) ce n’est pas de détruire l’outil de l’énergie nucléaire mais c’est faire en sorte que le nucléaire soit à la portée de tous et qu’un jour chaque Français produise ce qu’il consomme par des microcentrales, dans chaque maison
11) ce n’est pas en subissant les augmentations perpétuelles sur un produit que nous importons que nous réduirons notre balance déficitaire
12) c’est d’abord le vouloir et le vouloir pour tous, c’est éviter de fracturer la société nationale.
Faire l’aumône ne résout pas les problèmes
Faire l’aumône, c’est construire des moulins qui tournent à l’envers. C’est se mettre dans un engrenage qui va broyer le social.
Distribuer de l’argent pour compenser l’envolée des prix ne résoudra pas le problème économique et social d’un pays mais agrandira le fossé entre les Français, qui pourrait conduire à une révolte qu’il faut éviter.
On ne résoudra pas les problèmes, ni politiques, ni économiques, en faisant l’aumône ni en augmentant les salaires, ce qui entraînerait le processus du chien qui se mord la queue.
Oui, on peut augmenter le pouvoir d’achat de 20% sans difficulté, sans impôt supplémentaire mais simplement en augmentant notre consommation intérieure et en triplant nos exportations. Produire mieux et moins cher, c’est aussi combattre les importations.
Je sais que ce n’est pas facile mais il ne faut pas prendre les Français pour des imbéciles : ils ont appris à compter, même si l’école ne leur a pas donné ce qu’ils souhaitaient pour leur avenir.
Les Français sont assez grands pour comprendre que le financement du social ne peut plus durer. A chaque fois qu’on augmente les charges, on réduit la productivité, on réduit nos exportations.
Aujourd’hui, l’industrie paye toutes les matières premières beaucoup plus cher, près de 20% de plus qu’il y a seulement quelques mois. On paye l’énergie près de 50% de plus alors que le prix du KW devrait être divisé par dix en créant de minicentrales nucléaires, en supprimant toutes les pertes de charge pour le transport de l’énergie. Il faut produire de l’énergie là où on la consomme, avec des minicentrales au thorium.
Les Français ont honte de recevoir l’aumône que leur fait le gouvernement ; ils attendent vraiment autre chose de ce gouvernement. Les Français en ont assez de subir des maladies telles que le cancer et les virus, que l’on pourrait éviter mais que l’on ne veut pas éviter. On en connaît les causes, on en connaît les moyens : plus c’est simple, plus tout paraît compliqué pour le gouvernement… c’est peut-être trop simple. En fait, nos dirigeants connaissent mal les Français et les Français connaissent trop bien leurs dirigeants qu’ils subissent depuis des dizaines d’années.
Les Français sont pleins de bon sens : ils veulent arriver à l’évidence par de simples décisions qui éviteront toute la stagnation du pays, voire son déclin.
Les dirigeants sont dans le déclin, les Français sont dans le futur ; ils ne laisseront pas la France aux mains de ceux qui la détruisent. Les Français veulent rester français, les Français veulent travailler mais les Français veulent aussi que le social soit payé par tous ceux qui en profitent. Prendre les Français pour des imbéciles cela coûtera très cher aux dirigeants politiques.
Les Français en ont assez de payer pour ne rien avoir en échange. Ils veulent une France forte et respectée par tous. Aujourd’hui, on passe son temps à faire de la guéguerre, sans résultat. Les plus importantes des guerres à mener, ce sont celles de la santé et du pouvoir d’achat ; il en découlera la sécurité.