Le vaccin n’empêchera pas le virus de circuler et de vivre

Le vaccin permettra peut-être de réduire les possibilités d’actions du virus

Le vaccin permettra peut-être de réduire les possibilités d’actions du virus mais je crois savoir que, dans le vaccin, on introduit dans le corps humain des OGM, ce qui est strictement interdit en France. Serait-ce un bien pour un mal ?

Je n’ai rien contre les vaccins mais je crains beaucoup un vaccin fait à la vite.

Nous avons d’ailleurs constaté que tous les vaccins, quels qu’ils soient, n’ont jamais tué les virus.

Tuer le virus sans vaccin mais d’une manière naturelle.

Ce que je propose, c’est de tuer le virus sans vaccin mais d’une manière naturelle avec les moyens dont nous disposons.

On ne va pas tout de même continuer, au 1er janvier de chaque année, à se transformer en passoire ! Car, aujourd’hui, c’est la grippe, puis la COVID-19 et demain un virus x ? D’autant plus que l’on ne connaît pas les vrais effets secondaires des vaccins.

J’ai l’impression que l’on prend le vaccin dans les mêmes conditions qu’une roue qui se dégonfle. Mais s’il y a un clou dans le pneumatique, quel que soit le produit que vous y injecterez, il finira par se dégonfler.

On n’aura pas enlevé la cause, on n’aura pas tué la cause, et pour ce qui nous concerne, la cause, c’est le virus, qu’il soit la COVID-19 ou le virus de la grippe, et demain,  le virus x.

Soigner, c’est bien, éviter, c’est mieux.

En fait, soigner, c’est bien, éviter, c’est mieux. Neutraliser, c’est bien, tuer, c’est mieux.

Alors : quels sont nos atouts pour le tuer ? Je me suis déjà exprimé maintes fois. Le virus meurt vers 40 ou 45°. Il faut donc utiliser la chaleur pour le tuer et si l’on ne veut pas utiliser d’aussi fortes températures, alors, il faut utiliser les rayons ultraviolets partout où le virus peut se promener.

Enfin, la loi prévoit une désinfection générale après chaque pandémie. Pourquoi  ne pas le faire aujourd’hui, et je garantis à tout le monde, à tous les Français, qu’ils pourront passer Noël au coin du feu, en famille et quel que soit le nombre et ce, tout autant, au 31 décembre 2020.

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