Oser se servir du corps humain

Oser se servir du corps humain comme rempart à une pandémie est, pour le moins, scandaleux.

Les remparts pour éradiquer un virus sont, à présent, multiples et ce, sans toucher au corps humain.

Le vaccin ne sera jamais un rempart à une pandémie. Il pourra protéger quelques cas particuliers d’une fin douloureuse, mais il n’évitera jamais de nouveaux cas de COVID-19. Ce n’est d’ailleurs pas ce que prévoit le vaccin. Nous savons tous aujourd’hui qu’un être humain vacciné peut très bien être à nouveau contaminé. Ne pensez-vous pas qu’il s’agisse de bricolage alors qu’on peut éviter toute forme de cas de contamination en tuant le virus avant qu’il n’atteigne l’homme ?

C’est probablement trop simple mais c’est la réalité. Ceux qui en doutent doivent regarder la courbe des cas quand le soleil brille pendant l‘été, à un point tel qu’aujourd’hui on se remet entre les mains du soleil du mois de juillet prochain. On l’a déjà fait cette année et même l’an passé.

Mais malheureusement le soleil ne brille pas toujours de la même manière. Il faut savoir que ses rayons qui contiennent de l’ultraviolet sont toujours stoppés quand il y a des nuages. Et ils ne  sont plus efficaces quand ils sont à l’oblique.

Mais pourquoi donc ne pas utiliser l’antidote du soleil, que ce soit d’une manière naturelle ou artificielle ?

Quelle en est la raison ? Comment peut-on oser dire qu’il va falloir « vivre avec » le virus quand on ne veut pas savoir appliquer les solutions qui existent ?

Est-ce vraiment la peur de perdre leur fonds de commerce pour que les scientifiques soient aussi sourds à toutes solutions techniques et efficaces à 100% ?

Il faudra que la justice s’empare du problème, un de ces jours. Car ce n’est pas seulement les morts qu’il faut compter mais tous ceux et toutes celles qui vont traîner des séquelles durant des mois et des mois.

On voudrait se justifier de connaissances que l’on n’a pas. Je suis effaré, que ce soit pour le virus, comme pour le cancer, que l’on me dise toujours « je ne sais pas ». Alors, on bricole.

Et comment les politiques se sont-ils laissé embrigader dans les solutions scientifiques : ont-ils un intérêt ? J’ai peine à le croire, mais ce n’est pas impossible. Laisser mourir les vieux comme cela se passe à 90%, n’arrange-t-il pas les caisses de retraites et aussi les caisses de Sécurité Sociale ?

Le serment d’Hippocrate est clair : tout doit être fait pour éviter la souffrance et la mort de l’homme. On en est loin.

Nous allons avoir bientôt un nouveau Président ;  j’ose espérer que nous ne repartirons pas dans la tourmente de 100 000 morts chaque année pour cause de virus et de 200 000 pour cause de cancer.

J’ose espérer que ce nouveau Président, quel qu’il soit, ne se laissera pas enfermer dans le monde de l’argent. Il lui faudra du cran pour faire face et, quand on n’a pas de cran, on ne se présente pas à la Présidentielle. Avoir du cran, ce n’est pas d’accroître d’une manière vertigineuse la dette des Français, cela n’est qu’un sous-produit de la finance.

Il faut savoir

Au risque de me répéter, il faut savoir que les rayons ultraviolets ne traversent pas les nuages. Et qu’en hiver la situation oblique de ces rayons n’apporte pas suffisamment d’ultraviolets pour détruire le virus.

Il faut aussi savoir que les rayons ultraviolets du soleil ne pénètrent pas dans les espaces clos.

C’est pourquoi il faut substituer, en l’absence de rayons ultraviolets solaires, des rayons  ultraviolets artificiels.

Nous savons, évidemment, les produire avec plus ou moins d’intensité. Et j’affirme que si cela avait été appliqué depuis le premier jour, on n’aurait jamais eu 120 000 morts. C’est mathématique et c’est de la physique élémentaire.

Il en est de même pour les cancers. Je rappelle à tous que le cancer n’est pas une maladie mais une construction de petits cimetières, dans notre organisme, pour recevoir les cellules mortes en abondance quand les pressions atmosphériques dépassent 1030 millibars et compressent les vaisseaux de notre corps, empêchant la circulation du sang et donc de l’oxygène nécessaire à la vie des cellules.

Ces petits cimetières minuscules se créent dès la naissance et forment de mini nodules. Là encore, l’acharnement thérapeutique n’arrive pas  à laisser place à l’évidence.

Bien sûr, je ne suis pas médecin, je ne suis qu’un petit ingénieur qui a prouvé, tout de même, dans les combats qu’il a menés et qu’il a gagnés contre les monopoles des pompes funèbres, de l’industrie automobile et pour libérer les prix de l’essence. Je demande aux chercheurs de revoir leur copie en s’appuyant sur les mathématiques et sur le bon sens.

Contrairement à ce que disent les scientifiques qui ne savent pas, ni l’alcool, ni le tabac, ni la drogue, ne sont, en aucun cas, la cause des cancers.

Ils ne sont que des facilitateurs, comme l’huile d’un engrenage.

Laisser mourir les Français avec des « je ne sais pas » ou des « vivre avec », n’est pas à la hauteur de l’humanité.

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