Des évènements du passé n’ont pas servi de leçon

Certes, les événements provenaient de la main de l’homme. Mais quand des événements mille fois plus graves viennent de la nature, alors on s’y habitue.

L’invisible a tué des millions de juifs dans les chambres à gaz. C’est évidemment intolérable parce qu’ils étaient juifs mais aussi intolérable parce que c’étaient des humains.

Aujourd’hui, juifs, catholiques, musulmans ou autres croyants, sont tués par l’invisible à raison de 72 000 êtres humains par jour dans le monde. Et l’on s’y habitue.

Les leçons du passé auraient dû mettre nos chercheurs sur la voie de l’invisible. Un invisible permanent et qui, selon la dose ou la puissance, tue plus ou moins vite mais tue de toute manière. Et la main de l’homme n’y est pour rien. Mais son intelligence aurait dû ou devrait comprendre d’où provient ce drame permanent.

Rien de tout cela ; et pourquoi ? Parce que l’on s’habitue à cette sélection naturelle.

Enfants, hommes, femmes, de tout bord, politiques de tout bord, ceux du monde du travail comme ceux de l’intellect, doivent imposer la solution pour éradiquer la cause que l’on connaît.

Aujourd’hui ce n’est pas celle de l’antisémitisme mais celle du bon sens. Et c’est celle d’un petit garçon qui a vu et qui veut appliquer sa solution immédiatement. Car demain on ne pourra pas dire : on ne savait pas comme on l’a dit, pendant la guerre, pour les camps de concentration et les chambres à gaz.

Je ne suis pas juif, je suis catholique mais deux de mes frères étaient à Dachau ; c’étaient Louis et Henri. Certes, ils ont eu la chance de revenir mais avec dans les yeux des images et des faits accablants.

On n’a pas voulu savoir l’existence de ces camps et pourtant les Russes et les Américains, quand ils ont mis les pieds en Allemagne ou en Pologne, sont allés tout droit les libérer. Ils savaient donc non seulement le chemin mais aussi les lieux où cela se passait.

Aujourd’hui on connaît et on sait la cause des cancers et de toutes les maladies graves et tout ce qui en découle pour notre vie et notre bien-être. Et l’on continue à laisser tuer 72 000 de nos congénères chaque jour dans le monde ! Ce n’est tout de même pas anodin. Demain on parlera de crime sur l’humanité parce qu’on n’aura pas fait le nécessaire.

Non, ce n’est pas du chantage mais à la réalité, on s’habitue, même quand elle tue.

C’est un cri du cœur que j’adresse à tous nos dirigeants. Certes, je ne suis pas médecin mais peut-être un peu plus visionnaire qu’eux. Le monde médical est devenu  un monopole de notre vie qui est protégé. Il faudrait le casser le plus vite possible. Et je trouverai bien un Président qui m’y aidera comme ce fut le cas pour les autres monopoles.

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