Un petit pas vers une vie à 150 ans

Mettre fin à tous les cancers et aux virus, c’est beaucoup de vies, de vraies vies, en  pleine forme jusqu’à 150 ans. 

Et ce au moyen, dans chaque espace de vie :

– d’un petit régulateur de la taille d’une boîte d’allumettes que l’on appellera Hygée, notre déesse du bien-être,

– d’un petit réchaud soufflant, en hiver comme en été, pendant une demi-heure par jour, chez soi comme au bureau,

– d’une lampe à ultraviolets, une demi-heure de temps à autres,

et c’est la fin des virus, COVID, grippes et autres qui pourrissent notre système immunitaire et notre vie.

Deux petites découvertes naturelles pour un grand pas dans le futur. Fini la souffrance inutile, fini la vieillesse, fini la fatigue excessive : c’est le retour à une force physique et intellectuelle détruite au cours des années précédentes par des substituts peu convaincants. On s’est laissé aller mais tous ces substituts ne seront jamais l’égal de notre potentiel qu’il importe de reconstruire tel qu’il était à l’origine. 

Oui, la pleine forme c’est tout cela et je suis fier de mettre ces découvertes au service de l’homme pour écrire une nouvelle page de notre existence.

Vous allez me dire qu’on ne mourra plus ? Si, le jour où le moteur sera usé. Et l’on ne dira plus qu’on est mort mais qu’on « a passé ».

On me dit : comment va-t-on faire pour nourrir 20 milliards d’êtres humains ? Mais où est vraiment le problème quand on sait que 80% des terres utilisables ne sont pas exploitées, y compris les déserts qui peuvent redevenir des champs de blé avec  l’eau des nappes phréatiques.

On a simplement utilisé aujourd’hui ce qui était peut-être le plus rentable mais pas nécessairement le meilleur. On résoudra ainsi la fureur du réchauffement climatique dont la seule cause réelle se trouve justement être le désert que nous n’avons pas cultivé.

Arrêtons de nous lamenter, arrêtons de pleurnicher, agissons avec un travail désiré et non, ni imposé, ni obligatoire.

Non, nous n’allons pas vers un déclin mais vers un futur où nos enfants pourront s’épanouir réellement.

Le gaz, les crémations

La loi va interdire l’utilisation des gaz et du fuel pour se chauffer mais aussi dans les crématoriums. Le futur est donc, indiscutablement, l’utilisation de l’hydrogène.

Ce sera donc, concrètement, l’utilisation de l’hydrogène dans les Sublimatorium. La construction de ce projet aura mis du temps mais rien de plus que pour tout autre projet qui met aussi 20 ans pour être exploité.

La construction et la mise au point de ce Sublimatorium sera l’œuvre d’un brevet, celui de Michel Leclerc, mais aussi celui de son fils Florian Leclerc, qui révolutionnera le funéraire.

Il est vrai que l’État n’a rien fait pour aider à la préparation de ce projet. Ce projet devrait plaire aux écologistes au même titre que le millier de mini centrales nucléaires au thorium, sans risque, économiques, efficaces, qui pourront également alimenter les Sublimatorium.

La fin d’un monopole, même nationalisé, tel que l’EDF, devra permettre à chaque consommateur, à chaque ville, à chaque industriel, de produire sa propre consommation. Nous avons constaté le manque de fiabilité des EPR. Les mini centrales pourront être interchangeables puisque fabriquées et standardisées en usine.

Non, on ne manquera pas d’électricité cet hiver, pas plus que de gaz. En revanche, agiter le chiffon rouge permettra d’augmenter le prix du KW et du M3 de gaz…, ce qui provoquera, une fois de plus, un additif à l’inflation. Cette inflation aura au moins pour mérite de faciliter nos exportations et de réduire nos importations, du fait de la chute libre de l’euro. Si l’euro descend aux enfers, on a toutefois déjà vu cela et l’on n’en est pas mort.

Cette nouvelle donne devra nous permettre d’être  moins dépendants en donnant à l’hydrogène sa place dans le dispositif énergétique.

C’est très bien de redonner à notre énergie une nouvelle place mais il faudra parallèlement rendre à l’homme son énergie initiale. On aura supprimé le pétrole, il faudra, de même, supprimer les grandes maladies et les virus et ce n’est pas l’État qui va résoudre le problème et encore moins le monde médical. On aura supprimé le pétrole, on aura ainsi redonné à l’humain une ressource écologique.

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