On nous dit de protéger la planète mais ne devrait-on plutôt pas dire de se protéger de la planète ? On ne peut pas défendre une cause qui est, elle-même agressive envers l’homme. Il faut arrêter de croire que la nature ne transmet que du bien ; c’est faux. La nature grignote tous les jours, toutes les minutes, sans cesse, sans arrêt, notre vie.
La nature est la cause du réchauffement climatique. La nature, par ses variations de pressions atmosphériques, est la cause de tous nos cancers et des grandes maladies. La nature, avec ses vipères, ses frelons, mais aussi ses virus, ne cesse de poser problème à l’homme. La nature est la plus grande tueuse de l’humanité ; elle tue chaque année plus de 30 millions d’êtres humains.
Défendre la nature est un anathème, elle se défend bien toute seule. L’homme se défend mal, très mal, mais il a tous les moyens pour se défendre. De l’homme des cavernes à l’homme d’aujourd’hui, on n’a pas beaucoup avancé dans le médical, et pourquoi ? Tout simplement parce qu’on a cherché là où il ne fallait pas. Personne n’a osé prendre la nature à bout de bras.
La nature est la plus grande productrice de CO2 ; c’est encore la nature qui assure le développement des déserts qui est la principale cause du réchauffement climatique.
Les erreurs de l’homme ne sont qu’un grain de sable sur la planète ; défendre la planète, peut-être, mais se défendre d’abord de la planète, oui. La nature est un cheval pur-sang qu’il faut dresser.
Ce carbone, que l’on veut faire payer par une taxe, est produit à 99% par la nature. Ne mélangeons pas la pollution et tout ce qui peut défendre la nature. La pollution, nous avons trouvé les solutions, en utilisant l’hydrogène. Faudra-t-il encore que les écologistes conviennent que pour produire de l’électricité en masse pour la production de l’hydrogène, il faudra accepter de construire des milliers de minicentrales nucléaires à travers le monde, peu dangereuses et avec peu de déchets que l’on sait neutraliser.
Oui, il faut réguler la nature. Oui, il faut se protéger de ce que la nature produit de négatif tel que les virus, tel que les déserts. Et là aussi, nous savons le faire mais faut-il encore le vouloir.
On se demande vraiment si les pouvoirs en place ont bien compris ce qu’il se passait. Tous les jours on nous dit qu’avec le vaccin, ce sera le paradis mais les pays qui ont le plus vacciné sont en proie, aujourd’hui, à un rebondissement massif des cas de virus. C’est le cas des États-Unis, c’est le cas de l’Angleterre, c’est le cas de la Russie, c’est le cas d’Israël. Aux États-Unis, on compte, tous les jours, plus de 100 000 cas et 1 600 morts. Aujourd’hui, en Angleterre, c’est 40 000 cas et entre 300 et 500 décès, par jour. En Russie, c’est 150 000 cas et plus de 1 000 morts de la COVID, par jour.
« C’est la guerre » a dit Monsieur Macron mais, cette guerre, avec quoi l’a fait-on ? On ne se protège pas, on protège le développement des virus. Tous les éléments dont on se sert pour se protéger sont très aléatoires et, en France, la courbe des cas est repartie à la hausse et elle va progresser car le froid est de retour avec le développement des virus.
La nature a de telles dérives qu’il faut prendre les grands moyens. Quand un volcan explose, il rejette dans la nature plus de CO2 que 100 millions d’automobiles, jour et nuit. Je veux bien défendre la nature, mais je défendrai l’homme d’abord.
La lumière, c’est la vie, dit-on, mais la vie doit être un régulateur de la nature et parfois il faut se servir de la lumière pour neutraliser les dérives de la nature telles que les virus car, dans la lumière, on retrouve l’arme la plus puissante qui existe contre eux, ce sont les rayons ultraviolets.
Les dérives de la nature, par le réchauffement climatique, qui a pour seule cause le développement des déserts, peuvent aussi être compensées, arrêtées, en créant quelques centaines d’oasis de 40 à 50km de diamètre en plein milieu des déserts ou sur leur périphérie.
Les cancers qui ont pour seule cause les variations de pressions atmosphériques pourraient être totalement évités par une simple régulation de ces pressions dans notre chambre, chaque nuit.
J’invite les écologistes à revoir leur copie et à réfléchir sur les fondements mêmes de l‘écologie. Il ne faut surtout pas accroître les dangers de la nature ; il faut s’en protéger.
L’homme a besoin de l’oxygène de la nature. L’homme a besoin de l’hydrogène de la nature, pour son énergie, mais l’homme doit combattre les dérives de cette nature.
Les vrais chercheurs
La vraie recherche n’est pas une affaire d’argent. Elle est peut-être une affaire de manque de techniques, certes, mais quel que soit l’outil, il n’en sortira un chef-d’œuvre que s’il est détenu par l’artiste et l’artiste, c’est d’abord une idée gratuite, une idée pour faire un chef-d’œuvre avec les outils dont il dispose. Oui, un chercheur doit avoir du talent mais le talent ne se trouve pas au coin de la rue. Le talent, on le trouve dans l’évidence.
La recherche coûte trop cher en France et dans le monde. Elle coûte trop cher en hommes et pas assez en outils. Le talent est une qualité rare comme la terre dont on se sert pour fabriquer les piles à combustible. Le talent n’est pas dans l’or qu’il peut produire car il est de l’or par nature.
Aujourd’hui, la recherche est une spéculation, ce n’est pas un talent et, malheureusement, les spéculateurs se servent des talents et, en France, les talents, il y en a, mais compte tenu de la considération qu’on leur témoigne, ils partent à l’étranger.
On ne résoudra pas le cancer par des médicaments : on le soignera mais on ne l’évitera pas. On ne se débarrassera pas du virus par des vaccinations. On se débarrassera du virus en l’éradiquant. On s’aperçoit aujourd’hui que le vaccin n’a pas fourni les résultats escomptés et, faute de n’avoir pas détruit le virus pendant l’été, le voilà qui se développe à la vitesse de la lumière. Mais c’est justement la lumière dont il faut se servir pour le détruire.
Les chercheurs : ils sont des millions à ne pas trouver l’essentiel pour la vie. Le constat est là, il ne faut pas s’en réjouir surtout, mais il est nécessaire de prendre toutes les mesures, que ce soit pour les virus ou pour les cancers. Il faut détruire les causes.
Les Américains ont pour habitude de ne pas laisser un soldat mort sur le champ de bataille. Aujourd’hui, ce n’est plus un soldat sur le champ de bataille, il s’agit de millions de morts à travers le monde.
Ne faudrait-il pas qu’on reprenne conscience que la recherche, aujourd’hui, n’est pas à la hauteur des investissements qui sont faits ? Oui, bien souvent, la grande recherche ne sortira pas d’un laboratoire, mais d’une cave ou d’un grenier : c’est le talent qui débusquera les moyens nécessaires pour assurer la vie et pour nous défendre de la nature.