Un soldat, un pilote, un marin…
Un soldat un pilote, un marin, coûtent très cher, vivant, mais encore deux fois plus quand il est mort.
Aujourd’hui, la Russie compte 1 200 morts au front par jour. Un mort, ce sont des funérailles, c’est une dotation à sa veuve et ses enfants, ce sont aussi des bras qui ne travailleront plus et qui ne produiront plus.
Un ouvrier, un ingénieur, coûtent très cher à être formés. Et s’il coûte un salaire, un ingénieur malade coûte deux fois plus à la société et il ne produit plus.
Les soins coûtent cher, les jours d’absence aussi. Quant au handicap provoqué, c’est une dépense supplémentaire très onéreuse pour la société.
Notre société est malade. Il faut bien être malade pour déclencher une guerre sans aucune raison sensée ! Ne pourrait-on pas se contenter de faire la guerre à une nature en folie qui tue 60 millions de personnes chaque année dans le monde ?
C’est cette guerre-là qu’il faut mener pour le bonheur de tous, en s’attaquant aux causes qui détruisent notre organisme. Le bonheur de vivre, de travailler, sans fatigue.
Tout commence par la défense de notre système immunitaire. Ce sont nos soldats qui peuvent absorber tous les virus, toutes les maladies, et qui, par manque, vont entraîner une vie impossible.
La victoire de cette guerre contre la nature, sans médicament, est la seule qui vaille.
N’est-ce pas la bonne solution ? En tout cas, c’est celle que j’ai découverte et qui m’a permis d’inventer la solution adéquate.
Oui, ce sera une révolution sanitaire et ce sera une révolution nécessaire.
Vous n’obligerez pas les femmes
Vous n’obligerez jamais les femmes à faire des enfants. Faire des enfants n’est pas considéré comme un travail, avant, pendant et après la grossesse.
Plus grave encore, la grossesse est considérée, dans les conditions actuelles, comme une rupture de carrière.
Peu importe la situation telle qu’elle est aujourd’hui, si on ne peut pas avoir d’enfants, alors il faut conserver ceux qu’on a, en pleine forme et longtemps, pour compenser.
En passant la durée de vie de 83 ans à 180, on résoudra ce problème. Et pour ce faire, il faut oser s’affranchir des variations des phénomènes atmosphériques et magnétiques.
Dire que c’est impossible, c’est déjà considérer qu’on est battu.
Non seulement on veut moins d’enfants, mais on ne veut pas accepter que l’industrialisation nous tue en venant s’ajouter aux folies de la nature.
On n’arrêtera pas la mondialisation ni l’industrialisation, mais on peut tout de même vérifier, comme prévu dans le Code du Travail, les influences magnétiques dans les usines. Et ce n’est jamais fait.
On peut surtout, dans un espace de vie déterminé, tel que la nuit en dormant, réguler les phénomènes atmosphériques qui empêchent le sang de circuler dans les capillaires, entraînant ainsi la mort des cellules, avec toutes ses conséquences.
Oui, il va falloir apporter à notre système actuel de sérieuses modifications. L’école ne suffira plus. Il faudra une formation continue, toute sa vie durant. Je dis bien une formation continue réelle, pas seulement quelques échanges.
L’avantage que nous apportons par la régulation, par le maintien de toutes nos facultés, pourra largement compenser le coût de cette formation continue. C’est l’Etat qui doit la prendre en charge.
Vivre en pleine forme et longtemps, c’est apporter à l’Etat une fortune qu’elle n’a pas aujourd’hui.