La Russie au bord du gouffre

La Russie au bord du gouffre

Un gouffre financier, un gouffre humain et militaire.

L’appel au secours de Monsieur Poutine se heurte à des alliés qui aujourd’hui ont leurs problèmes internes. C’est le cas de l’Iran avec Israël, c’est le cas de la Corée du Nord avec un dirigeant malade.

La Russie vient de perdre encore un sous-marin. Il y a de cela quelques jours, elle a perdu des bombardiers à l’est. Ses fournisseurs de munitions s’épuisent.

Poutine compte sur Trump pour être Président des Etats-Unis : c’est perdu d’avance car l’arrivée de Kamala Harris, ancien procureur connaissant bien le problème judiciaire de Trump, va le mettre en difficulté. Trump ne pourra guère s’y dérober.

Monsieur Poutine est aussi interdit de séjour en Occident mais l’Occident, c’est aussi plus d’un milliard d’habitants contre 145 millions de Russes. Et encore, beaucoup de ses ressortissants ont fui la Russie.

L’Occident est en quasi-totalité au côté de l’Ukraine qui aujourd’hui se trouve mieux équipée, mieux argentée.

Le gouffre russe est si grand que la fin est proche. Poutine a trahi la confiance de l’occident : il va en payer le prix.

800 000 roubles, une somme roublarde

Cette somme peut paraître énorme pour l’engagement d’un soldat mais que peut-on acheter en Russie avec cette somme roublarde ?

On a déjà connu cela en France, et en Allemagne encore davantage, où il fallait une valise de billets pour acheter un vélo.

En Russie, c’est déjà l’après-guerre ; il n’y a plus d’argent dans les caisses et le rouble ne vaut plus rien sur le marché international. L’inflation fait rage. Et pourtant, on continue à tuer toutes les énergies de demain en engageant de jeunes hommes.

Tout ceci est la folie d’un homme, d’un Poutine, d’un Hitler, une folie qui n’a plus de limite.

La Russie n’a plus de crédibilité dans le monde entier. Sa monnaie ne vaut plus rien et, à défaut, on fait du troc. Mais pour combien de temps encore ?

Certains pays, hors de l’Occident, ont montré leur neutralité, mais l’adage qui dit que l’on va toujours du côté du plus fort, fait changer d’avis. Et la Russie est devenue le maillon faible.

Plus grave encore, le pétrole russe et certains métaux ont été remplacés par d’autres pays producteurs et même, après la guerre, il faudra beaucoup de temps pour rétablir la confiance, à moins que l’Europe ne vienne tout arranger en prenant le contrôle de la Russie.

C’est ce que cherche à faire l’OTAN, et l’Ukraine aura payé fort son entrée dans l’Europe et l’OTAN.

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