Les objectifs d’abord :
- accroître les naissances de 20%
- réduire de 50% les incivilités et les délits
- réduire de 50% le coût des prisons
- réduire de 50% le travail des tribunaux
- développer le logement et la consommation grâce à de nouvelles naissances.
Tous ces éléments sont largement suffisants pour financer le coût du salaire parental. Et, pour ne rien négliger, le salaire parental pourra être aménagé. Soit en totalité à l’un ou l’autre parent, soit par un dispositif à mi-temps pour l’un et l’autre. Ce qui éviterait les pertes de connaissances professionnelles.
Il est évident que cette idée va créer une rupture dans certains de nos esprits. Mais c’est dans l’intérêt de tous les Français.
L’hôpital est malade
Non, il n’y a pas que l’hôpital qui soit malade, il y a l’entêtement de nos dirigeants à ne pas vouloir éviter la maladie qui accable les Français.
On préfère soigner, ce qui rapporte beaucoup à certains, que d’éviter les maladies par des moyens naturels, techniques et quasiment gratuits.
La puissance du monopole médical est telle qu’au lieu d’être l’outil du bien-être, l’hôpital devient le pourvoyeur de la mort.
On ne pourra pas éternellement refuser le bon sens et l’évidence qui sont d’éviter les virus et les grandes maladies, en général.
Les dirigeants du monde médical entraînent le pouvoir politique au désastre, et pas seulement aujourd’hui avec le virus, mais depuis plus de cent ans, avec le cancer et les maladies cardio-vasculaires.
La peur d’être traînés en une justice fait trembler nos dirigeants, mais la vraie justice est de préserver la vie par n’importe quel moyen efficace sans chercher à en faire un profit. C’est la loi du bons sens et de l’évidence.