La santé a été exclue du Traité de Rome. A l’époque, le serment d‘Hippocrate avait encore quelque influence sur la médecine.
Aujourd’hui, le médical est devenu une vaste entreprise commerciale.
Le médecin ne se déplace plus. C’est comme au supermarché, il faut y aller.
Que s’est-il donc passé depuis le Traité de Rome ?
- On a dépassé la vitesse du son
- On a multiplié la possibilité de se déplacer par 1 000
- Les techniques électroniques, l’IA, avec l’effet d’utilisation de la résonnance, ont permis de multiplier le son par 10 000
- On se déplace à 300 000 km/h ; il faudra encore multiplier cette vitesse par 3 600 pour atteindre celle de la lumière ou, selon Diderot, on rattrapera alors le passé
- On a seulement multiplié notre vie par deux : quel exploit…
En fait, la santé a pris le petit train du western, souvent attaqué.
On a créé des médicaments à tour de bras et on a oublié de rechercher les causes.
Que penseriez-vous si on multipliait la durée de vie, dans un premier temps par deux, voire par trois ?
On serait dans le droit fil de l’évolution.
Pourquoi donc s’est-on contenté de réguler tout ce qui se voit ou se ressent et oublié toutes les constantes invisibles et insensibles qui nous détruisent ?
Le Traité de Rome était un traité concernant la libre concurrence et la libre circulation.
70 ans plus tard, notre santé n’a pas évolué, ou si peu.
Elle est devenue un commerce comme les autres.
Il importe donc de la réguler comme le Traité de Rome l’a fait pour la libre concurrence.
On va me dire « vous osez traiter la vie comme une chose, comme un produit ».
Mais que faites-vous donc avec vos médicaments ?
Ce n’est rien d’autre qu’un commerce.
C’est pour cela que je m’y attaque.
Pour mettre fin à ce monopole qui nous détruit.
C’est avec Hygée le régulateur, tout aussi simple qu’un radiateur ou un climatiseur.
Il est à présent à votre disposition.
En Suisse, on a l’habitude de dire
En Suisse, on a l’habitude de dire qu’il n’y a pas le feu au lac !
En France, on dit « tout va bien » quand tout va mal.
Le COVID a coûté plus de 100 milliards, directement ou indirectement.
Le prétendu vaccin a été vendu au prix d’un vaccin.
Qui en a profité ?
Il va en résulter un déficit fabuleux qui va peser lourd dans notre balance commerciale.
On savait ce qu’il fallait faire et on ne l’a pas fait.
Et ce sera la même chose si un nouveau virus apparaît : on nous injectera encore des anticorps.
Il est temps de décider de protéger notre système immunitaire.
Il est trop facile de porter la faute sur nos hommes politiques. Ils ont cru bien faire et ils ont conduit la France au bord du précipice.
Si l’on ne s’attaque toujours pas aux causes : eh bien, on paiera l’addition.
Faut-il encore atte
ndre une nouvelle attaque de la nature pour avoir le plaisir de soigner et de faire de l’argent ?
Ne peut-on pas éviter de tel drame ?
Car il s’agit bien d’un drame.
A une certaine époque, il y a eu la peste noire qui a ravagé la population.
Cela n’a pas suffi pour qu’on cherche d’autres solutions que la médecine, qui n’est pas parvenue à un quelconque résultat.
Alors, on vient me dire « il y aurait eu beaucoup plus de morts s’il n’y avait pas eu ce prétendu vaccin ». « Vous êtes des menteurs, Messieurs », « vous pouviez anticiper et éviter ». Et on ne l’a pas fait, et on ne le fait pas encore.
Y aura-t-il un Premier Ministre qui aura, un jour, le cran de dire « ça suffit, agissons car nous savons comment le faire ».
Même si cela met du temps, on aura pris le bon chemin. Protéger notre système immunitaire est la priorité des priorités.