Pas de bonne santé, pas d’économie

La santé est le phare de l’économie et aujourd’hui, en France, on a mis un cache sur le phare de la santé. Il va falloir faire éclater ce cache.

Ce cache, c’est quoi ? C’est le « je ne sais pas », c’est « on va vivre avec », c’est l’habitude. Mais qui donc a intérêt à assombrir le pays des lumières ? Qui donc a intérêt à développer la peur ? Quelle est cette main magique, invisible mais bien réelle, qui veut asservir notre pays ?

La vie, la santé, le travail, sont bradés au profit des quelques anges noirs que voulait terrasser l’archange Saint Michel. Mais c’est la vie, c’est le peuple qui gagnera par la connaissance des causes et par les solutions qu’on va y apporter. Tout ceci, nous l’avons, mais c’est parfois trop simple et n’enrichit pas les laboratoires, voire quelques trafiquants qui spéculent d’une manière honteuse.

Cela pourrait paraître impossible à réaliser. On nous prendra peut-être  pour des fous, mais qu’importe, seule l’évidence apparaîtra.

Pour la santé, comme pour l’économie, il faut déjà éviter tout ce qui entrave, tout ce qui peut détruire, l’homme. Mais, trop souvent, on préfère soigner qu’éviter.

Et comme toujours, c’est au peuple qu’on fera payer l’addition… Il est  vrai qu’il n’y a guère que le peuple pour avoir ce courage et il fera face, avec le concept gaulliste.

L’Europe

Beaucoup voudraient voir l’Europe politique disparaître, mais ce sont ceux-là aussi qui nous a apporté la guerre. L’Europe est notre atout contre la guerre.

Bien sûr, il va falloir y apporter quelques changements. Bien sûr, il faudra redonner aux pays la possibilité d’appliquer leurs lois. Dans le monde qui avait mis en place le Traité de Rome, il n’était pas prévu qu’on y ajoute tous les jours quelque chose.

Ce Traité était avant tout l’outil nécessaire pour mettre fin à des abus concurrentiels tels que les monopoles. Ce Traité mettait en commun nos vies mais pas nécessairement nos moyens, pour améliorer sans cesse. Chaque pays a ses talents pour découvrir. Chaque pays a sa conception du futur, mais c’est l’ensemble de ces futurs qui constituera l’Europe. L’Europe est une équipe qui, tôt ou tard, devra désigner son Président.

Aujourd’hui, on bricole au niveau européen. On essaie de réduire les possibilités de chacun par des normes insensées.

L’Europe doit encore s’étendre, tout spécialement à la Russie. Nous allons avoir besoin, pour conserver la paix, de concilier ce qui paraissait impossible il y a de cela vingt ans. L’Europe est notre seule défense face à la Chine, face aux États-Unis. Nous sommes la proie de ces deux blocs si nous n’y prenons pas garde. Nous sommes au milieu des deux mâchoires de l’étau.

Il est préférable de se faire beaucoup d’amis que trop d’ennemis, même si nous avons parfois des traditions différentes. Mais ne cherchons jamais à concilier des religions différentes : l’Évangile ne sera jamais le Coran. L’Europe, que ce soit avec la Russie ou tous les autres pays de l’Est, est une Europe judéo-chrétienne. On ne peut pas s’accorder avec des gens pour qui la  vie ne compte pas.

Bien sûr, on pourra commercer, mais commercer ne veut pas dire changer notre civilisation. Pour nous, Européens, la vie et la paix vont ensemble ; pour d’autres, c’est la mort, c’est la guerre, permanentes.

Ceux qui veulent mettre des frontières à la France n’ont jamais connu la guerre et son cortège funeste. On n’apprend jamais à faire la guerre : on l’a subie et l’Europe est la meilleure arme qui existe pour ne pas avoir à subir la guerre.

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