Ce n’est pas l’immense Hippocrate, ni un médecin, qui fait aujourd’hui ce serment. Le serment de n’avoir cesse de réguler les causes de tous les cancers. Et d’éradiquer tous les virus, qui provoquent dans le monde une mort anticipée. Une mort de 20 millions d’êtres humains par an , pour le cancer, et de 5 millions pour les virus.
J’inclus dans cette promesse les maladies d’Alzheimer et de Parkinson ainsi que la mort subite du nourrisson. Je ferai aussi le nécessaire pour que l’on puisse éviter le paludisme dans le monde, transmis par un moustique, devrais-je, pour ce faire, anéantir les tabous, les monopoles, dans ce secteur d’activité médicale.
Je fais le serment de n‘utiliser aucune drogue ou produits médicamenteux existants ou à venir. Ceux qui ont pour mission de soigner et non d’éviter, maladies et morts.
Ces découvertes que j’ai faites et dont j’ai déposé les brevets, devront être utilisées sans distinction de fortune ou de pauvreté. Les dispositifs que j’ai mis au point ne toucheront à aucun moment le corps humain. Mais ils toucheront la cause qui entraîne cancers et virus.
Je fais le serment de convaincre les autorités politiques du bien-fondé de mes découvertes basées sur le constat, le bon sens et l’évidence.
Personne ne pourra m’accuser d’atteinte à la médecine et encore moins d’un intéressement financier personnel.
J’estime prononcer ce serment dans l’intérêt général et qu’il est de mon devoir de mettre ces découvertes en application.
Il va de soi que ces dispositifs n’entraîneront aucun effet secondaire. Il suffira d’utiliser ces découvertes selon les règles habituelles.
Les vaccins antivirus, les cancers
Mon inquiétude tient à ce que les anticorps injectés dans le corps humain, et qui vont nécessairement mourir au bout de quelques mois, aillent rejoindre les cellules mortes pour cause de pression atmosphérique, dans les nodules précancéreux.
Otez-moi ce doute.
La logique semblerait être que, comme tous les intrus dans le sang, non absorbés par les leucocytes, ces anticorps prennent le même chemin dans les organes filtreurs où se forment des nodules.
De plus, le constat à ce jour est que le nombre de décès par cancer s’est subitement accru depuis six mois… ???
Il est peut-être encore temps de vérifier si le vaccin est bien un vaccin tel qu’on le conçoit : rien de moins sûr. On l’a appelé vaccin mais en est-il vraiment un ?
Aujourd’hui, apparaît dans les pays survaccinés que les conséquences du virus ne soient pas aussi atténuées qu’on pouvait le croire et que, de toute manière, le résultat contre la contamination n’est pas au rendez-vous.
Il ne faudrait surtout pas que l’injection d’anticorps puisse, à terme, accroître les décès par cancer. N’aurait-on pas sous-estimé les effets secondaires du produit injecté qui n’a pour vaccin que le nom ?
Je radote, n’est-ce pas ? Mais qu’on me démontre le contraire et j’en serai ravi. Ma seule espérance est de faire vivre les Français en pleine forme et le plus longtemps possible, par des moyens purement naturels. Il ne faudrait pas que ces anticorps finissent par affaiblir notre système de défense immunitaire.
La France ne pourrait supporter un nouveau « quoi qu’il en coûte » ; elle est déjà dans une situation de dépendance financière telle que l’avenir est sombre.