L’Ukraine, à la peine
Plus que jamais l’Ukraine a besoin de nous.
Elle a besoin de se sentir protégée par ses alliés, elle a besoin de notre présence physique, morale, sentimentale mais aussi de nos armes. Que l’Occident soit suffisamment courageux pour affronter l’ours russe.
Nous avons des armes et des munitions qui ne serviront jamais. Alors faisons les fonds de tiroir et envoyons-leur tout ce que nous possédons.
S’il y a tant de morts là-bas, du côté de l’Ukraine, nous en sommes responsables. Nous avons beaucoup trop attendu.
Mais aujourd’hui, nous avons la possibilité de produire facilement. Alors, faisons-le. Je sais que nous ne sommes pas très riches mais on le sera encore moins si nous perdons notre liberté.
Soyons aujourd’hui pour l’Ukraine ce que Coluche a été pour les Restos du cœur.
Nous sommes face à un maître chanteur, ce qui montre sa faiblesse.
L’OTAN, l’Occident, doivent aujourd’hui montrer leur utilité. Depuis 80 ans, nous payons pour l’OTAN pour que nous soyons protégés. L’heure est venue de le prouver.
Aujourd’hui, l’Ukraine, comme les Restos du cœur, font la quête, à la veille de l’hiver. Ne l’obligeons pas à faire la manche. Les Ukrainiens donnent déjà leur vie et d’une manière ultra courageuse et ultra compétente.
Bientôt l’Ukraine aura aussi ses missiles à longue portée. Donnons-leur au moins la possibilité d’utiliser ce qu’on leur vend. Ne jouons pas au grand seigneur et ne rentrons pas dans l’esprit de Monsieur Poutine avec son chantage.
Cette guerre a entraîné 100 000 morts du côté ukrainiens, 500 000 du côté russe et trois fois plus de blessés. Ne trouvez-vous pas que cela soit suffisant ? Moi, je pense que c’est avoir trop abusé de l’Ukraine.
Soyons fiers de notre pays et prouvons-le.
Les salaires, les retraites
Se battre ou défiler dans la rue pour l’un et l’autre est absurde. La seule solution est dans la santé pour résoudre les problèmes de l‘un et de l’autre.
Aujourd’hui, il n’y a qu’une guerre qui vaille, c’est de se battre contre la nature. On dit que la nature a horreur du changement mais c’est elle qui produit les changements. C’est notre vie qui a horreur du changement et cette vie subit les changements de la nature.
On s’est trompé de chemin. On s’est contenté de soigner au lieu d’éviter les variations imposées par la nature et la médecine s’en est emparé en pensant que la chimie pourrait soigner.
Les pharmacies sont pleines de médicaments tout aussi dangereux les uns que les autres. L’homme passe beaucoup de temps a dépollué l’air qu’il a pollué, à rendre l’eau pure qu’il a polluée. On n’a rien fait contre nos ennemis mortels que sont les variations de la nature.
On s’est dit qu’on n’y arriverait pas. Il n’est pas question, bien sûr, de s’attaquer à l’atmosphère mais d’en réguler les effets pervers dans des espaces de vie.
La nature humaine est bien faite. Elle a toujours des réserves de secours mais très limitées dans le temps.
Alors, faisons le nécessaire pour recharger ces réserves, tous les jours, durant notre sommeil ou pendant le travail au bureau.
Le résultat sera exceptionnel et nous n’aurons plus de problème pour nos salaires, nos retraites et nos maladies. Nous pourrons alors vivre en pleine forme et pendant beaucoup plus longtemps.
Le tabou de vivre jusque 83 ans en moyenne n’a pas de sens. Investir si peu pour pouvoir vivre dans les meilleures conditions, en osant s’attaquer aux phénomènes de la nature, coûtera mille fois moins cher que de les subir.
Le problème, c’est qu’ils sont invisibles mais nous les connaissons. Alors, faisons ce qu’il faut
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