Avoir des doutes sur la victoire de l’Ukraine

Avoir des doutes sur la victoire, c’est déjà collaborer avec l’ennemi.

L’Ukraine ne demande que des armes et des munitions.

Mais ce ne sera pas suffisant, il faudra aussi des professionnels de la guerre, de la part de chaque pays.

L’Ukraine reçoit de l’argent de manière importante de plus petits  pays que la France. Nous avons largement donné 3 milliards et l’Allemagne, 17…

Nous ne sommes pas du tout dans le cours des choses et nous en sommes même les derniers.

Nous n’avons rien compris.

Même réveillée, la France ne bat pas la mesure.

Elle ne voit plus que son bien-être et il n’y en a jamais assez.

Mais ce bien-être pourrait bien être anéanti si un jour, par malheur, l’armée russe défilait sur les Champs-Elysées.

Il est vrai que nous ne sommes plus bien nombreux à avoir subi une vraie guerre.

Nous ne sommes plus que 3 ou 4 millions de Français à l’avoir ressentie dans notre chair.

Sans oublier les millions de pupilles de la Nation.

Peu ont connu la période où il fallait faire des queues de plusieurs heures pour avoir un morceau de tissu ou une paire de chaussures et même un peu de viande.

Sur 90% des Français qui aujourd’hui mettent en doute la victoire de l’Ukraine, le jour de sa victoire, ils défileront pour la fêter.

Et nous l’avons vécu…

Rappelez-vous, il y avait combien de résistants en France durant la guerre et combien l’étaient devenus… le jour de la victoire.

Et j’ajouterai qu’il a fallu 80 ans pour que l’on se rappelle à la mémoire de ces jeunes fusillés.

Nous sommes des lâches, du plus haut niveau de la France au plus bas.

Dans les années 90, j’ai écrit un livre et sur la couverture, il y avait la photo de ma  fille France.

II s’appelait « debout la France » !

Va-t-on devoir aujourd’hui laisser nos enfants et nos petits-enfants partir et prendre les armes.

Français, reprenez-vous et donnons au moins pour l’Ukraine le soutien moral dont elle a besoin !

La meilleure manière de célébrer une vie

Un de nos concurrents des pompes funèbres parle de célébrer la vie quand on est mort.

Ne serait-ce pas plus fort de conserver la vie plus longtemps, en pleine forme, jusqu’à 180 ans ? C’est la donnée mathématique de la durée de vie mais que nous réduisons à une moyenne de 83 ans.

C’est par l’échec de la médecine mais aussi notre inconscience à ne pas assurer les constantes qui gèrent notre vie.

Nous pourrions vivre autrement et beaucoup plus longtemps.

Ce serait aussi réduire le déficit de la Sécurité Sociale et produire beaucoup plus avec la totalité de nos facultés et de notre dextérité.

C’est aussi conserver nos connaissances en les mettant à jour régulièrement, pendant beaucoup plus longtemps.

Notre corps est si bien fait qu’il nous faut défendre et protéger les petits soldats des globules blancs qui assurent notre défense immunitaire.

Ce sont nous et seulement nous  qui pouvons le réaliser sans médicaments mais simplement mécaniquement.

Cela ne veut pas dire que les médecins ne serviront à rien car il y aura toujours l’accident qu’ils devront soigner.

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