Depuis des millénaires, on côtoie l’Ankou, par l’accident, par la maladie, par la pandémie.L’Ankou : une image que l’on s’est donné de la mortet qui nous accompagne à tout moment.
Le travail n’est pas la cause de nos malheurs. Le travail ne tue pas ; ce ne sont que des conditions de vie, naturelles, qui aujourd’hui limite la durée de vie.
Je pense que ma découverte de régulation des pressions atmosphériques, mettra fin à la présence de l’Ankou. C’est une ombre que je veux plus sentir.
Oui, je lui lance un défi car même si un jour la mort pourra être présente, ce ne sera que par la fermeture d’un interrupteur, sans souffrance et sans peur.
Oui, l’Ankou avait, jusqu’à ce jour, le monopole de la vie. En fait, ce sont les variations des pressions atmosphériques qui lui ont donné ce monopole pour tuer l’homme.
Nous allons faire en sorte qu’elles ne lui soient plus néfastes.
Le temps, la durée, nous sont comptés
Depuis des siècles, on se contente d’accroître la durée de vie de quelques mois, de quelques années et, trop souvent, dans des conditions de vieillesse déplorables.
On est fier d’avoir des EHPAD, je dirais plutôt des mouroirs car la durée moyenne de vie en EHPAD est très faible ; il n’y a pas de quoi s’en vanter.
Oui, aujourd’hui le temps nous est compté mais rien n’interdira une vie de 150 ans et plus, en pleine forme, avec le régulateur de pressions atmosphériques.
J’ai entendu dire que l’on avait reçu des messages réels de l’au-delà, ou plus exactement d’une étoile qui se trouve à 80 années lumières de la Terre. On dirait que la vie est tabou et que ces distances sont impensables à franchir techniquement.
Il est vrai que le corps humain supporte sans problème la vitesse mais supporte très mal les accélérations. Et, pour franchir ces distances, il faudra s’approcher de la vitesse de la lumière. Il faudra déjà des années avec une accélération acceptable pour parvenir à cette vitesse ; ce qui est possible avec une propulsion nucléaire.
En réglant notre vie, en régulant les effets naturels, le temps ne nous est plus compté.
Certes, il n’y a plus de pression atmosphérique dans l’espace, mais elle est nécessaire dans le vaisseau spatial, à 1013 millibars.
Oui, cette découverte est un petit pas pour l’homme vers l’espace sidéral