Ce jeune chercheur, connu et reconnu, a écrit un livre aux Éditions Leduc intitulé « pourquoi les méduses ne vieillissent pas ».
Et il affirme : « la nature regorge de super pouvoirs en matières de longévité ».
C’est un recueil d’informations exceptionnelles qui se croisent avec ce que je dis depuis bientôt cinq ans sur Twitter, TVA-sociale, Pompes Funèbres Michel Leclerc ainsi que sur Facebook et ce, chaque jour.
L’essentiel de ce livre sur l’immortalité de l’homme a attiré mon attention. L’auteur écrit aussi que les cellules se suicident quand elles sont soumises à un environnement contraire à leur possibilité de vie. Mais il n’en donne, ni la cause, ni les solutions. Toutefois, l’ensemble de son livre évoque les possibilités de l’homme éternel et les conséquences de cet auto-suicide sur le cancer, sur les maladies d’Alzheimer et de Parkinson.
J’ai, au cours des années précédentes, évoqué l’existence des cinq zones bleues. J’ai aussi évoqué les causes de la mort des cellules et les conséquences de leur émission d’un produit nocif qui conduirait aux cancers.
Mes écrits complètent les écrits de ce chercheur qui ne donne pas la cause précise de l’auto-suicide des cellules que moi je considère comme un suicide provoqué par l’absence d’oxygène à la suite de variations excessives des pressions atmosphériques qui arrêtent la circulation du sang dans les micro-vaisseaux.
Pour ma part, je pense qu’à partir du moment où nous aurons pu réguler ces pressions atmosphériques, nous aurons aussi évité toutes les maladies graves. C’est ce que j’ai proposé en inventant un dispositif de régulation qui n’est pas plus grand qu’une boîte d’allumettes.
D’autre part, l’auteur fait état du processus de vieillissement tout comme moi qui ajoute que le vieillissement est la conséquence de la destruction de notre système immunitaire.
Je reste persuadé que la plus grande maladie qui existe sur cette Terre est l’incrédulité face aux données et aux solutions proposées. Les solutions que je propose sont purement mécaniques, mathématiques et extérieures au corps humain sans la moindre intervention médicale.
C’est exactement l’environnement qu’évoque Monsieur Nicklas Brenborg : pour lui, la nature regorge de super pouvoirs en matière de longévité.
Toutefois j’affirme que la nature a deux faces, celle du bien d’un côté, celle du mal de l’autre, qu’il nous faut maîtriser, c’est ce pour quoi Dieu à donner l’intelligence à l’homme.
L’auteur parle de cellules mortes dénommées « zombies » ; il pense que ces zombies continuent à vivre malgré la mortalité de la cellule et émettent des substances nocives. Il ne précise à aucun moment, ni les causes, ni les solutions à apporter. C’est pour cela que j’apporte, et les causes, et la solution, en complément de cette étude.
On dépense des milliards pour éviter
Oui, on dépense des milliards pour éviter l’accident, qu’il soit de la route, au travail ou ménager.
C’est très bien, mais que fait-on pour éviter les virus, les cancers, les grandes maladies, la vieillesse, la perte des sens, la fatigue, la mort ? Pas grand-chose, en fait, on considère que c’est naturel, que c’est évident.
On soigne l’après accident. Que fait-on pour développer l’intemporel et protéger l’avant ? En un mot : que fait-on pour réguler, pour éradiquer, les causes invisibles et pourtant naturelles ? que fait-on pour séparer le bien du mal des effets de la nature ? Que fait-on pour combattre l’incrédulité face à l’évidence, face au constat, face à la nature ?
C’est parfois désespérant de faire comprendre que nos yeux, nos oreilles, ne voient et n’entendent qu’une toute petite partie du visible et du son. Les animaux voient beaucoup plus et entendent beaucoup mieux que nous et vivent, pour certains, beaucoup plus longtemps.
Ce à quoi conduiraient la régulation et l’éradication de certains éléments naturels, c’est à une vie en pleine forme, quasi éternelle et, pour ce faire, les milliards ne sont pas nécessaires.
Pour entrer dans le monde de l’évidence, il suffit de frapper à sa porte. Dans le monde où nous vivons, c’est l’espérance qui manque le plus ainsi que le regard que nous avons sur l’infini. Grand ou petit on a voulu le remplacer par l’orgueil, par la vanité et par l’argent. Tout ceci n’est que subjectif et conduit rarement au résultat.