C’est la mondialisation et l’industrialisation
C’est la mondialisation et l’industrialisation ainsi que le peu de résultats de la recherche médicale qui rendent la société suicidaire et ouvrent un boulevard à la drogue, au narcotrafic.
Il faut redonner à l’homme son bien-être, sa santé, que la nature a détruits par des phénomènes invisibles et non ressentis.
On ne retrouvera pas notre bien-être, ni avec la drogue, ni avec les produits pharmaceutiques dont les composants sont souvent nocifs.
Il nous faut combattre les causes qui nous détruisent, jour après jour, et nous savons le faire, mécaniquement, en s’opposant aux dérives de la nature.
Aujourd’hui, la société est malade.
Il ne faut pas la soigner, il faut éviter ce qui la rend malade.
L’homme est à bout de souffle. Il est urgent d’y remédier.
Il nous faut, pour notre santé, prendre un autre chemin.
Il ne suffit pas de le dire :
nous l’avons fait avec le concept Hygée-leclerégulation.
Rien ne servira de se battre contre la drogue si l’on n’apporte pas une autre solution pour notre bien-être.
Notre économie va à la dérive.
Nos dettes s’accumulent.
Il faut donner à l’homme le moyen de produire plus et beaucoup plus longtemps dans la durée mais avec moins d’heures de travail hebdomadaire.
C’est un véritable chambardement.
Il n’y a pas d’autre issue.
La fatigue
Elle s’empare de tous, faute de pouvoir répondre aux attaques de la nature.
On perd son souffle et la fatigue achève notre volonté de vivre en pleine forme.
A un moment donné ou autre, et pas toujours après avoir beaucoup travaillé, la fatigue s’empare de notre corps.
Plus on avance dans l’âge, plus la fatigue se fait sentir.
Ce sont des constats implacables.
Le sportif de haut niveau perd toutes ses chances au-delà de 35 ans.
La fatigue n’est pas toujours la même selon les individus mais la finalité est la même car la cause est la même.
Osons rétablir ce que la nature détruit et nous y parvenons en régulant les effets néfastes de cette même nature.
Quand on perd son souffle, la fatigue arrive à grands pas, pour les sportifs comme pour tout un chacun, c’est tout au début de notre vie qu’il faut apporter la solution.