La drogue pourrait-elle être limitée ?

La drogue pourrait-elle être limitée par une bonne santé ?

Des millions de Français prennent de la drogue parce qu’ils ne se sentent pas à la hauteur de leurs ambitions. La drogue peut être chimique, médicamenteuse  ou simplement par le tabac et l’alcool.

Les Français ont perdu leurs forces physiques et intellectuelle mais l’école, la culture, pourraient bien éclore par une bonne santé. Le sport pourrait prendre une autre dimension, le travail ne pas être une corvée.

La France a plongé dans le médical qui soigne et ne résout pas les problèmes et encore moins les causes.

On croit que la drogue, voire l’alcool ou le tabac, apportent un plus, un mieux. C’est tout le contraire, ils détruisent, ils altèrent, ils tuent.

Et comment retrouver la santé physique et intellectuelle ? Il s’agit simplement de combattre les causes naturelles qui nous détruisent. Nous ne voulons pas respecter les constantes. La dérive de ces constantes tue comme toute drogue.

Réguler les constantes, c’est redonner vie à la nature humaine, c’est lui rendre toute ses facultés, la dextérité, la durée de vie. La prise de drogue, en général, n’est que la conséquence d’une vie désastreuse.

Donnons-nous les moyens de réguler nos constantes et les grandes maladies disparaîtront, notre système immunitaire mènera le combat contre les virus et nos cellules ne mourront plus faute d’oxygène.

Rien ne sert de s’attaquer directement à la drogue, le mieux est de ne pas en avoir besoin. Rendre la drogue inutile, et nous voilà avec un corps en pleine forme, physiquement et intellectuellement.

Nous voilà partis pour une nouvelle aventure ; c’est tout l’objet d’Hygée le régulateur.

On passe son temps à se battre

Les guerres successives ont conduit à un désastre humanitaire mais aussi à une avancée technologique fulgurante.

Depuis des millénaires, on se bat entre nous et personne n’’a cherché à combattre les effets pervers des variations des constantes qui règlent notre temps de vie et notre bien-être. Ces effets rendent notre vie tristement insupportable face à la maladie et à la vieillesse.

En temps de guerre, on détruit armes, munitions et soldats. Demain, on mènera une guerre pour la vie et pour tout ce que peut apporter la vie. On ira à la conquête d’immensités incalculables, ou même de l’infini, sans la moindre arme destructrice, en se disant qu’il vaut mieux aller vers la lumière, vers les soleils, et non pas à l’extinction de ces soleils, de ces lumières et de cet oxygène.

A la fin de certains devoirs d’école, ou de faculté, ou de technologie, le professeur mettait souvent : « peut  mieux faire » ; ne croyez-vous pas qu’il y ait mieux à faire que de se battre contre des moulins à vent, fussent-ils nucléaires ?

Pour y parvenir, il nous faut conserver notre santé et notre vie en régulant les écueils que l’on peut aussi éviter.

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