Ces anticyclones qui règlent le monde à leur manière

Rien n’est plus fort ni aussi constant que les anticyclones. Ils balayent des nuages et font la pluie et le beau temps dans le monde entier.

Voici comment on matérialise surtout les anticyclones…

Les anticyclones sont si puissants

La puissance, l’énergie de ces monstres font le meilleur et le pire sur nos vies et ce, sur toute la surface de la Terre.

Je m’étonne que personne ne se soit rendu compte de ses effets dévastateurs quand la pression dépasse 1025 millibars et devient mortelle sur les faibles au-dessus d’une pression de 1035 millibars. Ces anticyclones agissent sur notre corps, sur nos vies, comme une fleur toxique, voire mortelle.

On m’a toujours dit que le travail des pompes funèbres était en dents de scie sans m’en donner la cause.

Aujourd’hui, et après des centaines de constations, j’affirme que ces mastodontes que constituent les anticyclones, sont mille fois plus dangereux qu’un volcan ou que le sida. Les volcans et les ouragans sont limités dans le temps et dans l’espace. Les anticyclones gèrent notre vie toutes les secondes. Ils apportent le soleil en dégageant les nuages et se retirent en laissant les basses pressions ramener la pluie. Ils circulent tout autour de la Terre et nous ne savons pas encore par quel mécanisme. Mais une chose est certaine, quand ils arrivent, surtout en très forte puissance, il faut s’en protéger.

Est-il possible de réguler cet anticyclone ? Je n’en connais pas les moyens mais je connais la solution qui nous permette de s’en protéger. Faut-il encore en être convaincu. Je crois être le premier dans le monde à soulever le problème et je demande que les solutions de protection soient mises en œuvre d’abord chez les plus faibles et chez les cardiaques.

Mais, beaucoup plus important encore, c’est pour toute la population et spécialement pour ceux qui travaillent qu’il accroît la fatigue et, sur l’homme en général, depuis sa naissance jusqu’à mort.

Il faut savoir que tout un chacun a les moyens de se protéger quand il se sent en danger. Il s’agit de monter en altitude, quand cela est possible, ou descendre sous terre quand cela existe comme un métro, une grotte, champignonnière, etc…

Et pourquoi ceci ? La pression exercée par les anticyclones sont telles un boa qui vous enserre et vous étouffe et, dans tous les cas, elle réduit la circulation sanguine dans les 40 000 km de petits vaisseaux qui apportent l’oxygène au corps et font vivre les cellules.

Je ne suis pas médecin mais je m’étonne que le corps médical ne s’en soit pas ému alors qu’il s’en sert déjà en utilisant les caissons isobares dans les hôpitaux.

Alors, pourquoi ne pas réaliser demain dans toutes les constructions et dans celles qui existent déjà, des espaces, dans une chambre ou une pièce où la pression sera régulée de la même manière que dans un caisson isobare ? Il n’est pas nécessaire d’être en permanence à de basses pressions mais il faut au moins y être quelques heures chaque jour.

Croyez bien que je suis heureux et fier d’apporter cette découverte et cette solution au monde entier. Il faudra maintenant l’utiliser. Mais, je ne me fais pas d’illusion : quand des chercheurs comme Pasteur ont découvert des solutions pour vaincre des maladies dangereuses, ce n’est que des dizaines d’années après que l’on a compris qu’il fallait employer ces vaccins pour tout le monde.

Ce n’est pas un vaccin que je propose mais un système tout à fait naturel qui nous permettra d’être moins fatigué, qui évitera des hécatombes comme en 2003 lors de la canicule et d’autres hécatombes en plein hiver, qui ont démontré que ce n’est ni la chaleur, ni le froid qui en furent la cause.

Aujourd’hui, on ne meurt plus à cause la chaleur et encore moins à cause du froid mais, chaque année, des centaines de milliers de personnes meurent terrassées par la pression atmosphérique.

Puisse le corps médical m’écouter et participer à cette protection que je demande. Puisse les politiques prendre conscience, maintenant qu’ils le savent, qu’il faut agir, et très vite.

Ce ne sont pas des accidents du travail, c’est la mort qui vous tombe du ciel.

Tout ceci n’empêche pas des protections que l’on doit prendre quand on travaille au soleil ou dans le froid. Mais, une fois protégé, ni l’insolation, ni l’hypothermie ne sont en cause face aux trop fortes pressions atmosphériques.

En tous cas, on consacre des sommes fabuleuses pour un certain nombre de maladies telles que la tuberculose, la peste, le sida et autres, mais pour se protéger des anticyclones qui tuent cent fois plus, il suffit de se mettre dans des espaces où la pression est moins forte, espaces naturels ou fabriqués, pas seulement dans les hôpitaux mais chez tout un chacun et dans les bureaux, et pourquoi pas dans les usines. Je conviens que ce sera plus difficile à organiser.

Monsieur le Président de la République, vous qui cherchez des moyens de productivité, ne pensez-vous pas que la réduction de la fatigue en est un moyen le plus absolu et le plus économique ? Notre compétitivité en dépend.

Enfin, pour tous, les enfants comme les vieux, être moins fatigués et plus protégés, c’est une espérance de vie en plus.

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