La mort de 5 000 à 15 000 personnes, lors des grandes canicules ou des grands froids, n’a en aucune manière comme cause, ni le froid, ni le chaud, mais l’invisible pression atmosphérique qui varie au cours des jours selon les anticyclones.
La pression atmosphérique pèse sur les corps
Cette pression atmosphérique agit comme l’action sournoise de la fuite du gaz de ville ou du gaz qui s’échappe d’un poêle mal réglé. En fait, c’est du CO2 invisible pour ce qui est du gaz et du poêle et pour l’anticyclone, ce n’est que de la pression d’air qui agit sur la totalité du corps humain.
En fait, la pression atmosphérique des anticyclones place le corps dans un étau et l’étouffe progressivement en empêchant la circulation du sang dans les 40 000 km de petits vaisseaux que contient notre corps.
Ce sont les pompes funèbres et les montagnards qui m’ont amené à cette découverte et cette conclusion, et pourquoi : 75% des décès sont dus, en France et dans le monde, a une forte pression dépassant les 1025 millibars. Et en ce qui concerne les montagnards, ils vivent 10 ans de plus que les gens de la plaine.
Ô combien sommes-nous tous atteints lors du passage des anticyclones sur notre pays ! et leur danger dépend de leur puissance qui fait monter la pression atmosphérique. Et ce qui est plus grave, c’est que tout ceci se passe sans le moindre ressenti immédiat mais seulement au bout de 2 à 3 jours.
Il faut donc, durant ces périodes, accroître l’oxygène dans le sang de façon à assurer la vie de ses vaisseaux. Mais on peut aussi le faire d’une manière toute naturelle en montant en altitude où la pression est moins forte ; et en France, nous ne manquons pas de montagnes. On peut aussi aller sous terre, comme dans les grottes, les métros et les nombreuses carrières souterraines.
Tout ceci n’est pas de l’imaginaire, c’est du concret. Et pourquoi puis-je affirmer les choses de cette manière ? En 2003, il y a eu 15 000 morts en quelques jours parce que les pressions atmosphériques étaient proches de 1040 millibars. En revanche, aujourd’hui, il fait très chaud, comme en 2003, mais la pression est à 1015 : il n’y a donc aucun danger et il n’y a eu aucun décès supplémentaire.
C’est pourquoi je demande que soit prise en compte, dans toutes les constructions, la nécessité d’avoir une pièce dans chaque appartement où l’on pourra régler la pression atmosphérique et c’est tout à fait faisable. En général, cette pièce est la chambre qui est transformée selon les mêmes principes que les caissons isobares.
Dans les croyances religieuses, l’invisible c’est ce qu’on appelle la foi. Mais ici, notre invisible est mesurable, nous pouvons donc le combattre.
Déjà, dans les hôpitaux, on se sert du caisson isobare pour maintenir des cardiaques en vie. Ne pourrait-on pas déjà envisagé cette possibilité dans les maisons de retraite et autres résidence de personnes immunodéprimées puis envisager un programme de développement de ces installations au même titre que l’on se protège de la chaleur ou du froid ?
Chaque année, les pressions atmosphériques tuent des centaines de milliers de personnes, il s’agit bien d’une mesure d’utilité publique. Car, si dans la période de canicule que nous traversons, il n’y a pas eu de morts supplémentaires, c’est seulement parce les pressions atmosphériques étaient faibles.