La défensive sans l’offensive est criminelle.
La mort du virus viendra par l’offensive. Depuis huit jours, le temps est plus doux, plus clément et, comme par hasard, la progression du virus est stoppée temporairement.
Le nombre des entrées à l’hôpital ainsi que les admissions en réanimation a baissé dans toute la France. Le nombre de morts à l’hôpital est divisé par deux. Le nombre de réanimations est divisé par quatre. Mais demain, ce ne sera pas l’été, mais l’hiver.
Sans offensive de notre part, c’est-à-dire la chaleur et les rayons ultraviolets dans tous les lieux de vie, le virus repartira à la hausse dès l’arrivée d’une vague de froid.
Nous pouvons tuer le virus. Soigner, c’est bien mais l’éviter c’est mieux.
Avant le 10 novembre, les hôpitaux ne seront plus surchargés, mais il ne s’agira que d’une petite trêve. Il est urgent de passer à l’offensive.
Qu’on profite du soleil quand il brille, mais quand il se cache, il faut remettre en place les mêmes effets d’une manière artificielle quel qu’en soit le prix. Il n’est pas difficile de chauffer une pièce ou un bureau à 30° pendant quelques heures et il n’est pas difficile de mettre une lampe à ultraviolet ou un épurateur d’air dans votre salle de bains, de douche ou dans les toilettes.
L’installation de ces équipements ne coûte que 30€ ; notre vie ne vaut-elle pas ce prix ?
Ne soyons pas des criminels car nous savons détruire le virus qui est actif au froid.
Ce n’est plus un choix, c’est un devoir.