Partout

Partout où il y a un espace réfrigéré, il y a danger.

Il faut être cohérent. On a pour habitude de dire que pour éteindre un incendie on a quelques secondes  avec un verre d’eau mais qu’il faut une tonne d’eau pour l’éteindre au bout de dix minutes.

Aujourd’hui, pour arrêter le développement des virus et les tuer, il faut moins de dix minutes. Ridicule, n’est-ce pas ! Et pourtant c’est vrai : avec des rayons ultraviolets, le virus ne résiste que quelques minutes.

On pourra considérer que l’on n’a pas fait l’essentiel si tous les espaces réfrigérés, quels qu’ils soient, ne sont pas équipés de lampes à ultraviolets. Il en est de même qu’à plus de 30°, le virus devient inoffensif et meurt. Comme par hasard, nous sommes aux deux extrémités de la décomposition de la lumière.

Et oui ! Pour éviter des morts, il faut éviter le virus. C’est la meilleure solution mais ce n’est pas l’affaire des médecins…

c’est l’affaire des ingénieurs qui, techniquement, vont détruire le virus en amont de la contamination à l’homme. Et s’il n’y a plus de contamination, il n’y a plus de développement.

En fait, le virus est partout, sur toutes les surfaces. Faire des vaccins, c’est bien, faut-il encore en avoir, faut-il aussi qu’il y ait des aiguilles  pour vacciner. Tout ceci c’est en aval de la contamination à l’homme. Tout ceci est ridicule.

Refuser l’évidence et la cohérence, c’est se condamner à mort. De la même manière que refuser de réguler les pressions atmosphériques, c’est aussi se condamner à mort à plus ou moins long terme.

Je me répète peut-être mais je ne cherche que l’intérêt de l’homme et je n’en fais pas ma fortune.

Ma grande fortune, c’est de garder la vie ; c’est mon bonheur à moi. Je n’ai pas de fonds de commerce à défendre. Mon seul bonheur, c’est de faire vivre les gens, en pleine forme, le plus longtemps possible, jusqu’à 120 ans, pourquoi pas ?

C’est peut-être ce qui dérange les politiques et les économistes car il va falloir revoir notre système social.

Mais sachez bien que je gagnerai cette bataille, comme j’ai gagné les autres, que ce soit dans l’intérêt des familles, ou tout simplement dans l’intérêt de chacun.

À chaque fois, j’ai dû me battre des milliers de fois devant les tribunaux. Pour avoir, à la fin, raison, que ce soit pour la liberté des pompes funèbres, que ce soit pour la distribution automobile en Europe ou que ce soit pour le prix des carburants.

Les choses ont évolué et le temps de la vérité approche. Et l’on me dira tout simplement : c’était évident…

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