On a un virus ivre, au volant, sur la route de la vie. Il est dangereux. Va-t-on le laisser conduire, se déplacer et tuer quelques humains au passage ?
La police de la route se doit de mettre hors circuit ce virus et ne pas attendre qu’il provoque des accidents. Toutefois, il est lourdement armé et il peut donc refuser de descendre de voiture. Il faudra alors prendre les grands moyens et se servir des armes des policiers car il va se rebiffer ; ce sera lui ou le policier et ce sera donc au policier de tirer le premier. C’est à nous de tirer les premiers.
Nous ne savons pas maîtriser un virus, alors il faut l’éradiquer dans l’intérêt de l’humanité, ce n’est que de l’autodéfense. Il faut le tuer avant l’accident, avant qu’il n’attaque l’homme.
Neutraliser, éradiquer, avez-vous dit ?… et comment ? En utilisant tout simplement les moyens à notre disposition, en commençant par le soleil avec ses rayons ultraviolets quand les nuages ne les filtrent pas.
A défaut, il faut utiliser nos moyens matériels, nos lampes et nos tubes à ultraviolets, partout où le virus ne prendra pas le virage. Il faut l’empêcher de circuler : il n’y a rien à voir.
Le vaccin n’arrêtera, ni le virus, ni ses conséquences. Il permettra peut-être de réanimer après l’accident.
Soyons courageux et honnêtes envers l’humanité et agissons, dès à présent et surtout pendant l’été, en le détruisant, en l’éradiquant, en le tuant là où les rayons du soleil ne pénètrent pas. Une seule lampe peut servir à dix ou quinze personnes. Imposons-la à tous et à toutes.
Nous sommes en guerre, il nous faut donc distribuer les grenades à chacun.
LE SOLEIL A FAIT ET FERA SON TRAVAIL
Le soleil a fait son travail, les gouvernements ne font pas le leur.
Aujourd’hui, nous avons enfin un beau soleil et sans voile ; les nuages ont disparu, le soleil est au zénith, les rayons ultraviolets sont au sommet de leur puissance.
Non, il n’y aura pas de vague nouvelle avant le mois de septembre. Vous pouvez prendre de bonnes vacances. En revanche, il faut imposer à tous l’utilisation chez eux, dans les cinémas, dans les théâtres, dans les salles d’attente et tout lieu de rassemblement en local clos, des lampes et des tubes à ultraviolets, avant et après le passage des personnes.
Il faut aussi ne pas oublier tous les magasins et supermarchés où l’on séjourne souvent plus d’une demi-heure ; certains l’ont déjà compris, d’autres attendent qu’on le leur impose.
Aujourd’hui, après quinze jours d’un temps maussade, le soleil fera son travail. Le gouvernement, quant à lui, fait-il le sien en n’utilisant pas les armes à notre disposition ?
J’écoutais, l’autre jour, dans une émission télévisée, que le vaccin va éviter le virus : c’est faux : il ne peut servir qu’à renforcer le système immunitaire pour se protéger des conséquences du virus. Mais celui-ci continuera à circuler de porte en porte, d’usine à usine, de bureau en bureau, de supermarché à supermarché.
Le soleil nous donne l’exemple, à nous de compléter son action là où il ne peut rentrer. Cela concerne aussi nos propres appartements, nos propres maisons.
Trois solutions s’offrent à nous :
- se mettre au soleil
- dévier les rayons ultraviolets dans vos appartements par une simple glace posée à 45° sur votre balcon ou fenêtre
- à défaut, se servir des lampes ou des tubes à ultraviolets vendus dans le commerce. Je vous ai indiqué à plusieurs reprises que l’on peut aussi s’en procurer sur internet.
Toutefois, les lampes et les rayons ultraviolets nécessitent qu’on les utilise selon certaines règles. Le minimum que pourrait faire le gouvernement, ce serait de l’annoncer et de l’indiquer à la télévision.
Mais est-ce trop simple pour être réalisé ? Peut-être. Alors, n’écoutons pas nécessairement les gouvernements mais agissons individuellement.
