Le médical, c’est l’après-accident, c’est la maladie. Le vital, c’est l’espace de vie qui va éviter l’accident et qui va éviter la maladie.
Chacun a son rôle. Le médical, c’est le médecin, c’est le chirurgien, c’est l’hôpital. Le vital, c’est l’ingénieur, c’est l’architecte. C’est le technicien qui vont rendre l’espace de vie assaini des parasites qui peuvent circuler, soit par l’eau, soit par l’air et parfois par les deux à la fois.
Le technicien se doit de les détruire là où ils sont, là où ils vivent. Quand il y a des moustiques, on les tue, quand il y a des vipères, on détruit leurs nids. Quand un chasseur va à la chasse, il va choisir l’espace où vit l’animal. Quand un pêcheur va à la pêche, il choisit l’endroit de la rivière ou de la mer où vivent les poissons. Quand il y a trop de sangliers qui détruisent les cultures, on choisit le chemin par où ils passent pour les tuer.
Pourquoi ne fait-on pas la même chose ? Pourquoi n’utilise-t-on pas le même processus pour tuer le virus ? Serait-ce parce qu’il est invisible ? Dans ce cas, il faut utiliser un peu de génie et de bon sens.
En ce qui concerne les virus, ils n’apparaissent qu’au froid. Et C’est au froid qu’ils naissent, qu’ils vivent, qu’ils se développent. C’est donc là qu’il faut les tuer. Et ce n’est pas le rôle du médecin, c’est le rôle de l’architecte, de l’ingénieur et du technicien.
Aujourd’hui, on se contente de faire intervenir le médical lorsque le virus atteint l’homme. Mais est-ce la bonne solution ?
Alors, vous allez me dire : où faut-il le chasser ? Il faut commencer à faire une liste. Mais est-ce bien utile ?
Le bon sens veut qu’on le tue là où il se trouve. Le constat c’est qu’il a pris ses quartiers dans le froid, un froid naturel ou un froid artificiel. Ce froid-là, où le trouve-t-on, à votre avis ? C’est dans tous les espaces réfrigérés que l’on a construits et qui fonctionnent, hiver comme été.
Pendant l’hiver, les virus sont partout et dès qu’un rayon de soleil apparaît, ils fuient et se réfugient dans les espaces réfrigérés. En effet, on ne peut pas assainir toute la planète. Par contre assainissons déjà tous ces espaces de froid que nous avons construits et installés.
Si l’on avait agi un tant soit peu l’été dernier, il n’y aurait jamais eu ni deuxième, ni troisième, ni quatrième vague… de contamination.
Certes, l’été reviendra un jour. Mais si on ne tue pas le virus à ce moment-là, là où il se sera réfugié, tout repartira au mois de septembre.
Une mesure internationale s’impose, une mesure obligatoire, que ce soit pour les espaces installés dans les supermarchés que dans tous les frigos du monde. C’est l’installation systématique de lampes à ultraviolets.
Ce qu’on ne veut pas comprendre, c’est que ce n’est pas le travail du médical, c’est en amont du médical qu’il faut agir.
Que de souffrances, que de morts en moins.