« Nous irons tous au paradis »

Attention de ne pas affoler les populations.

Evaluer une épidémie en nombre n’est pas une attitude responsable et je me pose la question : que cache cette méthode ?

Non, évaluer une épidémie en nombre n’est pas raisonnable.
Seul un pourcentage par rapport à la population atteinte évitera tout
affolement.

Aujourd’hui, en Chine, les morts par le coronavirus
représentent moins de        1 / 1
000 000 d’habitants alors qu’en France, rien qu’avec la grippe il y a un
mort pour 7 000 habitants. Force est de reconnaître que les pourcentages
sont infimes.

En revanche, 720 morts par jour, c’est-à-dire environ 250 000
décès dans l’année, dus au cancer, représentent 0,3 % de la population, très
loin devant le coronavirus en Chine. Il n’y a donc pas lieu de s’affoler du
risque encouru avec le coronavirus.

En France et dans le monde, on a pris l’habitude de
considérer le cancer comme une fatalité, voire une habitude. Mais il y a entre
le virus du coronavirus et le cancer, une montagne de morts qui proviennent du
cancer.

 Il me semble donc
qu’il ne faille pas affoler les populations. N’est-ce pas plutôt pour voiler
les élections qui arrivent ?

Certes, nous irons tous au paradis mais nous ne sommes pas
pressés.

Ma découverte, en tous cas, sera un coup d’arrêt net aux
morts du cancer.

Je voudrais éveiller les médias sur la réalité de chaque jour
en France et en Europe, voire en Chine.

Certes, le cancer n’est pas un virus mais l’important, c’est
le résultat de la cause. On voudrait nous faire croire que le cancer est une
suite logique de l’alimentation, de l’alcool, du tabac mais tous ces éléments
ne sont pas la cause du cancer.

Ils sont tous simplement des facilitateurs pour l’hébergement
des nodules provenant des cellules mortes par manque d’oxygène transporté par
le sang dans tous nos micro-vaisseaux écrasés variations excessives des
pressions atmosphériques.

Et nous savons nous en protéger.

On nous dira que nous mourrons un jour ou l’autre. Certes, on
ira tous au paradis mais le ciel peut attendre notre visite 20 ou 30 ans plus
tard. Pour le ciel ou pour l’éternité, ce n’est peut-être pas beaucoup mais
pour nous, humains, c’est important.

Je veux bien aller au ciel mais je veux bien aussi mener une
vie paradisiaque sur notre planète.

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