La cigale ayant chanté tout l’été se trouva fort dépourvue quand la bise fut venue…
Rien n’a été fait et rien ne sera fait pour détruire le virus. Par temps clément, les courbes se sont inversées. Va-t-on dire encore que ni le chaud, ni le froid, ne sont des éléments déterminants pour l’épidémie en cours ?
Ce qui a été fait :
Masques, confinement, couvre-feu, sont tous des éléments défensifs et même s’ils ont une utilité, leur objectif n’est pas de détruire le virus et l’on ne vivra pas éternellement en confinement, je l’espère.
Aujourd’hui :
Le froid va revenir et nous verrons arriver une troisième, une quatrième puis une cinquième vague ; nous serons bien au chaud, je l’espère, à Noël, chez nous… mais nous serons seuls.
Le souhait des politiques, des scientifiques et de la population, est de retrouver la liberté. Mais est-ce dans les conditions actuelles ?
La solution :
Et nous voilà revenus à la position de début juillet. Le virus ne disparaîtra pas par hasard ; il faut donc le tuer.
L’urgence absolue :
- Organiser une désinfection générale pendant cette période d’accalmie
- Imposer le chauffage à 30° dans tous les centres de vie et de travail, pour empêcher le virus de se développer
- Utiliser épurateurs d’air ou/et lampes à ultraviolets dans tous les sites existants, de vie ou de travail.
Ceci aurait dû être fait en juillet ; il faut le faire maintenant comme la loi l’impose après toute épidémie.
Faut-il ouvrir les stations de sports d’hiver ?
Ouvrir ces stations où la température est inférieure à 0° serait suicidaire.
Toutes ces pertes de liberté sont la conséquence de l’endormissement de l’Etat et de l’incompétence des Conseils Scientifiques monopolistiques.
Le plus grave :
C’est que nous savons comment tuer le virus et nous ne le faisons pas. Tant que nous n’aurons pas accepté d’être en position offensive, on n’y parviendra pas.
Les vaccins :
Comment peut-on accepter et attendre que des vaccins arrivent, des vaccins dont on nous dit qu’ils seront efficaces à 90 ou à 94% ? Aujourd’hui, le risque encouru par la population est de 0,6% pour la mort, et de 2 % pour être infecté par le virus.
Alors, pourquoi se faire vacciner quand, dans cette hypothèse, on obtient de moindres résultats d’autant plus que lorsqu’un laboratoire annonce des pourcentages de prévention, la vérité est plus proche des 50 à 60%, comme c’est le cas constaté désormais pour la grippe. Pour les laboratoires, c’est un coup de bluff, un coup de bourse où l’on voit d’ailleurs des patrons de laboratoire vendre leurs actions au plus haut niveau et quitter le bateau avec le pactole !
En conclusion :
A choisir entre deux maux, il me semble raisonnable d’utiliser celui qui est le moins cher et le plus efficace et sans effet secondaire.
C’est pourquoi je demande à toutes les nations d’utiliser ce que j’ai demandé : désinfecter partout et respirer un air ambiant à 30° et plus. Et ceci ne coûtera rien.