Les Français sont rongés par un système immunitaire défaillant. Il est vrai que
le COVID, la grippe, les cancers, participent à cette défaillance.
Fait-on ce qu’il faut pour redonner aux Français la force physique et
intellectuelle originelle ? Donne-t-on aux Français l’envie de travailler et
d’apprendre tout au long de leur vie ?
En fait, ils sont massacrés, déboussolés, par un fossé qui se creuse entre les
Français dans leur vie, chaque jour. C’est la peur de la maladie, d’une mort non
contrôlée et parfois précoce qui ne leur donnent plus un avenir en pleine forme
et certain.
Alors, comment reconstituer cette énergie ? La Palice vous dirait « en évitant
de la perdre et en combattant les causes qui conduisent à la déprime ».
Le monde scientifique promet monts et merveilles mais refuse de s’en prendre
aux causes et spécialement aux causes engendrées par la nature. On refuse
d’accepter que la nature ait deux faces que l’écologie d’aujourd’hui ignore ou
veut ignorer.
Il n’y a pas de maladie appelée « flemme ». Là encore, il faut peut-être avoir le
courage d’en chercher les vraies causes et de les détruire en construisant les
moyens qui vont les réguler, tant les forces occultes de la nature sont
puissantes.
Les écologistes nous font croire à ce qui n’existe pas ; ils parlent de pollution, ils
parlent de réchauffement climatique, sans savoir et sans apporter la moindre
solution concrète.
La force d’une signature ou d’un concept
Pourquoi y a-t-il une telle différence de valeur entre un tableau, un design, une
sculpture, un concept, signé par son auteur, par son artiste ?
Pompes funèbres – n° 15 – 14112022 – Parution le 21 novembre 2022
Parce que l’œuvre n’a de valeur que si elle porte la signature de celui qui l’a
conçue et qui l’a créée par un pinceau, par un ciseau à bois ou en fer, ou tout
simplement par son courage, sa persévérance, qui aboutit à une évidence.
Malheureusement, nombreuses sont les copies sur le marché qui sont souvent
défigurées, que ce soit l’image, que ce soit la sculpture, que ce soit le concept,
et toujours par cupidité.
L’œuvre signée résistera au temps, la copie n’ayant aucune valeur. Et ce n’est
que justice face à la honte de ceux qui ont osé défigurer l’œuvre. Une œuvre
est un patrimoine, une copie est à jeter au feu.
On peut acheter une œuvre mais on n’a pas le droit de la défigurer ; elle doit
rester l’image de son artiste. Le contraire n’est que malhonnêteté, usurpation,
tromperie, qui sera sanctionné tôt ou tard.
