Les Français sont prêts à vous pardonner, Monsieur le Président

Oui, Monsieur le Président, vous avez été réélu par des Français qui sont prêts à pardonner les cinq dernières années qui n’ont guère brillé.

Mais on ne peut pas donner l’absolution et le pardon sans que le pénitent et le « converti » ne prenne le chemin qui conduit, non pas seulement à des résultats, mais bien au-delà, car  la France ne se contente pas de miettes, elle veut être ce qu’elle a toujours été : un guide dans le monde.

Vous devez donner aux Français les moyens de vivre et de survivre dans de  meilleures conditions sanitaires, sociales, économiques et culturelles.

Sur le plan économique, la dévaluation qui est en cours sera difficilement supportable, excepté si vous acceptez de mettre en place un bouclier social dans lequel les charges qui écrasent l‘économie, seront transférées sur le budget de l’État. C’est ce que l’on appelle la TVA sociale, sans augmentation de TVA.

Mieux vivre, c’est d’abord vivre en évitant toutes les maladies et les virus qui accablent actuellement l’humanité.

Vivre en pleine forme et plus longtemps, sans la peur d’un monstre qui affaiblit l’homme, nécessite, aussi étonnant que cela paraisse, d’éradiquer cancers et virus, et nous savons le faire, faut-il encore l’accepter. Mais aujourd’hui, le monopole du médical est plus dangereux que COVID et cancers réunis.

Voilà le chemin qui évitera votre chemin de croix, Monsieur le Président, ainsi que celui de nombre de citoyens. Il n’est pas acceptable de dire que l’on fait mieux que les autres pays. Monsieur le Président, notre pays a toujours fait mieux que les autres pays. C’est la France, Monsieur le Président, c’est un pays différent des autres.

Mourir du virus ou d’un cancer, c’est simplement parce que le monde médical s’est couvert d’or. On a oublié que réguler les dérives de la nature, que nous connaissons, est plus fort que toutes les médecines chimiques que nous employons.

Mourir du virus ou du cancer, c’est simplement parce qu’on n’a pas pensé, constaté, éradiqué, leur cause.

Certes, pour notre bien-être, on a utilisé des radiateurs ou des climatiseurs pour réguler la température mais on a oublié d’installer des régulateurs de pression atmosphérique, pour le cancer, et d’utiliser des radiateurs, véritables murs de feu contre le COVID en hiver, ou des lampes à ultraviolets en été.

Être heureux de vivre, c’est aussi avoir l’envie d’apprendre pour trouver, encore et encore, les moyens de réguler cette  nature qui est l’ennemi le plus important pour l’homme.

Les habitudes qui ont été prises ne sont pas les bonnes. Il en est de même pour le travail, un travail qui n’est pas productif parce qu’on n’a pas su protéger l’homme des dérives de la nature. Toute sa vie, et la plus longue possible, on se doit d’apprendre car nous ne savons pas grand-chose. On a beaucoup plus appris à détruire qu’à construire. C’est une habitude qu’il faut aussi combattre.

Vous nous avez dit, Monsieur le Président, que vous avez changé, que vous êtes un autre homme, converti.

Alors, il faut nous le prouver sinon ce quinquennat se terminera encore dans la peur.

J’ai 83 ans, Monsieur le Président, je ne me suis jamais ennuyé et j’ai passé ma vie à apporter tout ce que je pouvais, aux autres comme éviter que leur travail ne soit bradé. J’ai toujours voulu que l’on prenne les dispositions pour que notre pouvoir d’achat soit plus important et, aujourd’hui, je veux que leur vie soit plus longue et en pleine forme.

Oui, c’est par hasard que j’ai découvert la cause des cancers. Oui, c’est par hasard que j’ai découvert les moyens d’éradiquer les virus. Peut-être que ma formation d’ingénieur y a été pour quelque chose. Oui, on peut trouver le bonheur dans le travail mais ce n’est pas seulement l’argent qui peut résoudre les problèmes, c’est d’abord de donner à tous les Français l’envie de mieux vivre et de vivre plus longtemps, en pleine forme.

Poutine, COVID 19, tous deux des virus

Soigner les conséquences d’un Poutine ou d’un COVID, ne suffira pas, quelle que soit la solution diplomatique.

Un virus, un Poutine, c’est la même chose, ils reviendront sans cesse à la charge même s’il y a un cessez-le-feu. Le virus reviendra sans cesse, Poutine reviendra à la charge. Tous deux doivent être éradiqués et non soignés.

Craindre une guerre mondiale, dans ces deux cas, sans en avoir tué les causes, est une évidence. Le chantage du virus, c’est le froid et l’humidité, le chantage de Poutine, c’est l’arme nucléaire. Le froid, personne ne l’arrêtera, il faudra donc en détruire les fruits. L’arme nucléaire, plus on attend, plus elle devient dangereuse mais non probable, par la réciprocité.

Poutine peut exhiber un Iliouchine de commandement, prétendant qu’il peut rester des jours et des jours en vol.

Mais y aura-t-il encore un aéroport pour l’accueillir ? Ne pensez-vous qu’il s’agisse d’une preuve de démence ?

Poutine se trompe s’il donne l’ordre d’utiliser l’arme nucléaire : quel que soit l’endroit où il se trouvera, il périra. C’est pourquoi l’arme nucléaire ne sera jamais utilisée.

On a déjà du mal à utiliser le nucléaire comme matériau de production d’énergie : on veut toujours voir trop grand dans ce domaine. Il faudra bien revenir à la raison avec des mini centrales.

Non, c’est maintenant qu’il faut réduire Poutine au silence éternel. La défensive n’est jamais la bonne solution d’autant plus qu’aucune diplomatie n’est possible avec un fou.

Il en est de même pour les COVID et les cancers, il faut les éradiquer tout de suite en détruisant les causes ou en les régulant.

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