Vous avez annoncé avoir maîtrisé l’inflation : c’était un rêve, n’est-ce pas ? Les événements nous prouveront le contraire, que ce soit en Mer Rouge ou en Ukraine.
Mais, dès aujourd’hui, vous annoncez :
- 10% de plus sur l’énergie en début 2024
- 8% de plus sur les mutuelles, au 1er janvier 2024
- 6% de plus sur tous les transports
- 10% de plus sur tous les loyers
- 6% de plus sur les péages d’autoroute, en 2 fois
- 10% sur les salaires
- 10% sur les produits manufacturés
- Et la liste s’allongera en cours d’année.
Je reviens sur les Mutuelles qui donnent comme raison la réduction des remboursements de la Sécurité Sociale.
Nous sommes dans un cercle infernal. Ne pensez-vous pas qu’il serait préférable de réduire le coût des maladies en les supprimant ou, du moins, en les évitant ? Et la solution est de réguler les variations des pressions atmosphériques, seules causes des cancers et de toutes les maladies dont l’origine est un problème de circulation du sang dans notre corps.
Arrêter le tourbillon dans lequel nous sommes, c’est d’abord stopper les causes.
Ce que je vous propose, Monsieur le Ministre, peut paraître paradoxal et peu médical, mais c’est la solution après ma découverte sur les conséquences des variations des pressions atmosphériques sur le corps humain et que nous pouvons maîtriser désormais.
Quand tu tombes, il faut te relever
On peut tomber physiquement, on peut tomber dans les affaires, on peut tomber dans les idées.
On apprend beaucoup de l’échec mais la victoire est de se relever et de rebondir. Il est vrai que peu de choses sont faites ou existent pour faciliter la reconquête ou encore la possibilité d’avancer.
J’ai eu l’occasion d’avoir des échecs et j’ai eu l’occasion de tomber, mais me relever a toujours été une victoire. Je suis toujours reparti en guerre contre tout ce qui nuit à l’homme.
Il est vrai que si nous devons faire l’addition des échecs, la remontée serait difficile. Faire bouger les montagnes entraîne des risques, mais quel bonheur d’y parvenir.
L’Etat, quant à lui, se doit de mettre fin à la spéculation et à l’inflation même si cela peut l’arranger pour réduire sa dette.
Que ce soit ce gouvernement ou les autres, on n’a jamais prévu réellement ce qui pourrait arriver en ayant l’esprit visionnaire.
La mondialisation a changé la donne mais n’a pas tout résolu. Elle a aussi désorganisé une partie du commerce et du social.
Aujourd’hui, payer le social par les salaires est une faute économique : c’est à l’Etat de le faire et de le financer. Le social est l’affaire de tous et pas seulement de ceux qui travaillent. C’est trop difficile pour ceux-là, c’est trop facile pour les autres.
Il est souvent trop facile de se dire avoir des problèmes de santé, souvent aussi par manque de volonté. C’est à l’Etat, bien souvent de réduire les causes et d’aider la population à vivre en pleine forme et longtemps.
C’est à l’Etat de faire le ménage des abus en tout genre. C’est à l’Etat de sanctuariser le travail.