Un seul constat : l’OTAN met trop de temps à se mettre en route et à fournir les armes.
Certes, l’Ukraine ne fait pas partie de l’OTAN mais le rôle de l’OTAN c’est de protéger tout l’Occident d’une invasion étrangère.
Il faut arrêter d’être naïf : la Russie n’a pour seul objectif que celui d’assujettir l’Europe.
L’OTAN est là pour faire face à l’attitude d’un Etat dont les dirigeants, et spécialement le dirigeant, sont arrivés au bord de la folie. L’OTAN pourrait éteindre l’incendie qui fait rage en Ukraine et en Crimée. Attention : ce qui peut être fait aujourd’hui ou d’ici les trois mois qui viennent, ne le sera plus à fin septembre en raison du climat froid, des terres gelées, qui pourraient faciliter l’action de l’armée russe.
L’Ukraine reçoit et va recevoir beaucoup d’armes et de munitions. Sa philosophie est de défendre la liberté de l’Occident et de son pays. La philosophie de la Russie de Poutine, c’est de conquérir l’Europe par la force.
Ce qu’a oublié Poutine, c’est qu’une fois l’OTAN en marche, elle pourrait très bien ne pas s’arrêter aux frontières de l’Ukraine. Il faut accélérer les possibilités de l’OTAN pour faire gagner l’Ukraine et non s’apitoyer sur son sort et ce, quel qu’en soit le coût, afin que l’incendie ne s’étende pas en Europe.
L’adhésion de la Suède et de la Finlande est un excellent choix qu’il faut accélérer.
Il en est, dans ce monde, qui se croit toujours en péril. C’est le cas de la Russie qui voudrait, pour redevenir l’URSS, faire front de tous bords. Il faut que Poutine sache que s’il continue son action en Ukraine, il est fort possible que l’OTAN ne s’arrête pas à la frontière russo-ukrainienne, mais à Moscou.
Il faut réconcilier le peuple de France
A – Avec un nucléaire civil différent
L’arrivée de la voiture électrique, l’abandon du fuel et du gaz, vont nécessiter un surcroît d’énergie électrique. Il sera difficile de faire le choix entre les éoliennes des panneaux solaires et le nucléaire.
Dire qu’aujourd’hui le nucléaire n’est pas écologique et qu’il est dangereux, c’est ne pas connaître les possibilités des mini centrales nucléaire au thorium et à refroidissement à sels fondus.
Il est certain que poursuivre l’installation de centrales EPR à l’uranium est une absurdité. Ces monstres sont dangereux, ils sont attaquables et ne sont pas économiques :
- Compte tenu de l’utilisation de l’uranium à 60% de ses possibilités
- Compte tenu qu’elles représentent un danger en cas de guerre
- Compte tenu des déperditions de charges considérables, supérieures à 60% de l’énergie produite : transformateurs et lignes aériennes
- Compte tenu qu’elles ne sont pas très écologiques
- Compte tenu qu’elles sont dix fois plus chères que des mini centrales, construites en série en usine, et installées près des sites de consommation
- Compte tenu du coût d’investissement et du délai de construction : un centre nucléaire, ne peut produire qu’au bout de 15 ans de construction.
Le choix sera de fabriquer des mini centrales nucléaires de 50 à 170 MW, en série en usine, ce qui permettra, en cas de défaillance d’une pièce quelconque, d’en faire un échange standard : opération ultrarapide.
D’autre part, ces mini centrales peuvent être installées dans tout le pays, dans des locaux souterrains, sur une surface de 500 m2. Le combustible sera alors du thorium que l’on trouve dans toute l’Europe, ce qui nous rendra indépendants.
Le prix du KW sera, dès lors, divisé par dix. Ce sera un produit que l’on pourra exporter dans tous les pays du monde et tout spécialement en Afrique, dans les déserts, pour fournir l’énergie nécessaire au pompage de l’eau, et ce, pendant une période de 20 à 50 ans afin de redonner aux déserts les possibilités de cultures et de reboisement. On évitera ainsi le réchauffement climatique.
B – Avec une vie différente
Il faut réconcilier les Français avec une France qui travaille et qui travaillera en pleine forme jusqu’à 80 ou 90 ans et avec une retraite de près de 40 ans en pleine forme, en pleine santé, sans maladie, sans virus.
Le corps sera libéré des intrus dans son sang et la mort n’arrivera qu’à l’arrêt naturel du moteur qui l’actionne.