En Ukraine et en Russie

En France, on se plaint, mais nous y sommes au paradis face à l’enfer de l’Ukraine et même, à présent, de la Russie.

Au risque de déplaire, voire d’être insolent : il meurt deux fois plus d’hommes par le COVID et trois fois plus par les cancers, que par la guerre, dans ces pays où il n’y a aucune protection ni dispositif d’éradication ; les prétendus vaccins n’y sont pas obligatoires ni même désirés.

Les hôpitaux, déjà surchargés par les blessés de la guerre, commencent à faire un tri nécessaire entre les blessés et les cas de COVID.

Aujourd’hui, on peut dire que l’Ukraine et la Russie bombardent chacun le pays de l’autre. Et si la population  ukrainienne est parfaitement au courant des hommes tués au combat, il n’en est pas de même en Russie où le système d’information est contrôlé.  En Russie, on se garde bien de dire le nombre d’officiers, de tous grades y compris les généraux, qui ont été tués, à ce jour.

L’Ukraine va gagner cette guerre : c’est une évidence. Elle devra aussi gagner la bataille du COVID et du cancer. Je suis convaincu qu’elle mettra moins de temps que les Français pour adopter des solutions naturelles afin d’y mettre fin.

L’été, en France, comme en Ukraine, comme en Russie, va voir le nombre de cas de contaminations au COVID se réduire mais tout recommencera au mois de septembre 2022. Le bilan sera très lourd pour la Russie et l’Ukraine car ces morts viendront s’ajouter aux morts de la guerre.

Aujourd’hui, ni un cessez-le-feu, ni un armistice, ne me paraissent nécessaires. C’est la victoire qui est nécessaire car toute autre décision ne sera que provisoire. Monsieur Poutine ne comprendra que lorsqu’il sera à terre.

Ne faisons pas de sentiments, ne soyons pas naïfs.

L’Ukraine n’est pas la cause

L’Ukraine n’est pas la cause mais elle est le prétexte de notre inflation et de notre perte de croissance. On aurait pu penser le contraire mais, s’il n’y avait pas eu la guerre en Ukraine, il y aurait eu, de toute manière, une inflation en France et en Europe.

L’inflation est mondiale et se trouve être accélérée par notre système spéculatif. La croissance en berne provient de la faiblesse de nos exportations et de notre consommation intérieure. En fait, c’est la peur qui est la vraie cause de l’inflation.

Il existe tout de même des solutions immédiates qui permettraient de limiter ces deux défaillances. L’inflation est basée sur la peur et la spéculation. Pour y pallier, il faut sanctionner la spéculation et  organiser la déflation par une baisse massive des prix qui permettra d’accroître notre consommation et nos exportations et qui mettra la spéculation dans des situations inconfortables.

Pour la croissance, c’est notre production compétitive qui dépend des charges sur le travail. Dire que le transfert des charges sur le budget de l’État risque de remettre en cause nos avantages sociaux, est débile. Ce qui est débile, en revanche, c’est de croire qu’une augmentation des salaires permettrait de mettre fin au problème du pouvoir d’achat. Ainsi, réduire le coût du social en mettant fin aux grandes maladies, virus et cancers, est la solution.

Davantage de recettes, moins de dépenses inutiles, et nous parviendrons à un nouveau pouvoir d’achat qui sera supérieur d’au moins 20%, en deux ou trois ans.

En un mot : non l’Ukraine n’est pas la cause de nos malheurs. Elle n’est pour rien dans l’inflation car tout ce que nous consommons aujourd’hui est produit depuis l’année dernière et l’Ukraine produira au moins 80% de sa production habituelle, cette année.

Le phénomène de la guerre en Ukraine ne permet que de cacher les défaillances de notre système mondial et qui dit défaillance, dit toujours profiteurs.

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