On meurt 4 fois plus en Russie qu’en Ukraine
On meurt 4 fois plus du côté russe que du côté ukrainien, que ce soit sur le front ou dans les hôpitaux.
Vous allez me dire que c’est toujours trop, bien sûr, mais à ce rythme la Russie voit ses troupes s’épuiser.
L’avantage ukrainien est de pouvoir avoir toujours une avancée technologique sur les Russes. Les F16 sont arrivés, les Mirages arriveront aussi et les armes qu’ils transportent sont d‘une technologie nettement supérieure à celle des Russes. Le ciel ukrainien va enfin pouvoir être défendu.
Il y a de cela quelques jours, on apprenait que l’Ukraine avait détruit un bombardier russe à 1 800 km de sa frontière. C’est quand-même exceptionnel qu’il n’ait pas été intercepté avant d’arriver sur sa cible.
La Russie s’épuise en munitions et en chars, voire en avions. Elle va utiliser le matériel des Coréens du Nord et de l’Iran. Mais aujourd’hui, ce dernier cherche à se rapprocher de l’Occident. La Russie ne disposera plus de son armement.
Bien sûr, c’est encore la guerre, de l’est au sud de l’Ukraine via la Crimée mais la couleur du front a changé, l’espérance est revenue, le moral aussi.
On parle toujours des acquis russes dans le Donbass mais l’on parle très peu des avancées ukrainiennes en Crimée et au nord-est de l’Ukraine où la tentative de percée de la Russie a échoué.
La France va mal mais n’est pas dans le coma
Notre sanitaire actuel n’est pas à la hauteur de l’enjeu et notre économie en dépend.
Notre sanitaire a choisi de soigner au lieu d’éviter. Il se passe la même chose en France que dans une entreprise où l’on emprunte pour boucher les trous sans chercher à éradiquer les causes.
Notre système sanitaire n’est pas en mesure d’arrêter l’hémorragie car l’hémorragie actuelle ne dépend que du sanitaire.
Nous sommes malades, nous mourons trop tôt, nous perdons le moral. Et tous ceux qui sont atteints de maladies deviennent des inactifs. Il en est de même en politique.
Notre vie est un enfer alors que nous pouvons en faire un paradis en s’attaquant aux causes naturelles qui nuisent au fonctionnement de nos cellules, de nos organes producteurs, de notre système immunitaire.
Et cela, dès la naissance. On laisse se former des bouchons dans les capillaires qui empêchent nos cellules de vivre. Nous avons 40 000 km de micro-vaisseaux, y compris dans le cerveau. On laisse la nature entraver leur circulation.
Alors on me dira : « comment faire ? La nature sera toujours plus forte que nous ». Non, ce n’est pas vrai. Nous pouvons très bien la réguler dans nos espaces de vie. Réguler les forces de la nature, c’est résoudre tous nos problèmes économiques et sanitaire et ce, selon le concept « Leclerégulation ».
Chaque année, le social coûte plus de 500 milliards et notre déficit s’accroît de plus de 250 milliards l’année. Résolvons le problème sanitaire et nous résoudrons le problème des déficits. Et mieux encore, nous vivrons en pleine forme, très longtemps, avec une espérance qui aura repris sa place.
Trouvera-t-on, un jour, à la tête de l’Etat, quelqu’un qui prendra conscience des problèmes de la nature et qui, par son gouvernement, fera de la même manière qu’aujourd’hui on impose la vaccination. On proposera alors la régulation.