L’éternel combat de la vie sur la mort

Ce combat de la vie a déjà débuté dès notre naissance. Ensuite, il se poursuit. Nos cellules se renouvellent sans cesse. C’est nous qui les faisons vieillir en ne cherchant pas à vivre. Lorsque l’on a 20 ou 25 ans, on croit tout savoir, on sort d’école mais on ne sait rien, ou si peu. Nos cellules ont besoin d’activité pour vivre et pour survivre. Il est permanent le combat pour la vie.

Le combat de la vie est perpétuellement reconduit

Notre orgueil, notre vanité sont souvent la cause du vieillissement. Il faut consacrer au moins un quart de notre temps, toute la vie, à apprendre pour créer, pour innover contre la mort.

On court toujours après la vie et, aujourd’hui, il nous faut les moyens pour la suivre, voir la dépasser. Ce n’est qu’à ce prix que l’on peut combattre la mort.

C’est valable pour notre cerveau, mais aussi pour toutes les cellules de notre corps qui ne veulent pas être abandonnées ; elles veulent être actives.

Le concours pour la vie, c’est de notre décision. Tant et tant de maladies tentent de s’accaparer notre vitalité. Le meilleur moyen de les combattre, c’est de rester en permanence sur la piste de la vie.

La mort commence dès la naissance et, jour après jour, elle s’empare de nous.

Il faudra que le travail génère au moins un quart de temps pour continuer à apprendre, pour être toujours dans le cours de l’évolution qui va si vite. Il faut pouvoir changer de vie et pour cela il faut toujours et toujours apprendre.

Et cette séquence de vie est éternelle, elle ne s’arrêtera que si l’homme ou la femme décide un jour de couper le fil conducteur du savoir.

Un combat pour la vie de ceux à qui nous passerons le relais

Michel Leclerc : « C’est pourquoi, Monsieur le Président, il nous faut une économie forte pour offrir à tous les travailleurs, les chercheurs, les penseurs, une part importante de leur vie, pour qu’à 65 ans, on ait encore l’envie d’être vivant probablement jusqu’à 100 ans d’ici quelques dizaines d’années. Ne faisons pas de la retraite une fin mais un début. Faisons en sorte que ce que nous ferons puisse apporter un plus à ceux à qui nous passerons le relais.

Par le savoir on vit et la mort s’éloigne. C’est ainsi qu’une durée de vie de 100 ans paraît tout à fait possible. »

combat de la vie

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