Oui, la nature est une pièce à deux faces.
La première, c’est l’oxygène indispensable à la vie. La deuxième est celle qui
vient contrarier la vie. Et ce sont les effets de cette deuxième face qu’il faut
réguler sans avoir, de quelque manière que ce soit, à mettre en cause
l’intégrité du corps.
Ce n’est pas notre corps qui est en cause : il ne demande qu’à vivre et, aussi
étonnant que cela paraisse, ce n’est que la deuxième face de la nature qui le
tue.
Ce qui était impossible hier est évident aujourd’hui. Je sais que je vais à
l’encontre des fondements d’un dispositif médical mais je supplie les
chercheurs de se pencher sur ce problème avec une piste qu’ils n’ont jamais
détectée.
Ce qui me conforte dans mes espérances, c’est la découverte des cellules
« zombies » (par Nicklas Brenborg), qui émettent une substance nocive,
destructrice de notre système immunitaire dès que les cellules se trouvent
dans un environnement défavorable. Cette substance conduit aux cancers. La
destruction de millions de cellules provoquée par l’absence d’oxygène conduit
au vieillissement et à la mort, inutilement. C’est l’objet de ma découverte qui
consiste simplement à éviter que les cellules ne soient privées d’oxygène.
Les cellules ont une mini réserve d’oxygène pour une durée de 24 heures mais,
au-delà, elles meurent et deviennent des cellules zombies qui vont circuler
dans le sang et se loger dans les organes filtreurs.
Faire face à la nature paraît impossible et pourtant, ce n’est qu’un petit
régulateur de la taille d’une boîte d’allumettes qui va réguler les pressions
atmosphériques pendant notre sommeil :
Pompes funèbres – n° 08 – 03102022 – Parution le 13 octobre 2022
C’est ce petit régulateur qui va s’opposer à la face nocive de la nature de la
même manière que l’on se sert d’un radiateur pour se chauffer. C’est cette mini
boîte d’allumettes qui va permettre à l’homme de conserver sa puissance
originelle et qui lui donnera une espérance de vie jusqu’à 150 ans et en pleine
forme.
Le vieillissement provient de…
Le vieillissement provient exclusivement d’une destruction de notre système
immunitaire et, en fait, il commence dès le jour de la naissance.
Il fallait donc chercher la cause de l’affaiblissement de ce système immunitaire,
au rythme de 1% l’an. Pour ce faire, il y a plusieurs voies :
1) Celle de réinjecter tous les trois mois une potion d’anticorps qui va
renforcer, quelques temps, le système immunitaire.
2) Ou celle d’éviter cet affaiblissement en s’attaquant à la cause qui porte
atteinte au système immunitaire et c’est là qu’intervient ma découverte
sur l’action des variations des pressions atmosphériques là où l’on se
trouve.
La pression atmosphérique est variable selon le poids de l’air au-dessus de nos
têtes et se réduit considérablement quand les nuages servent d’écran. Je dirais
presque que les nuages servent de coupe-feu.
Nous pouvons la mesurer avec un baromètre électrique qui va commander un
dispositif de régulation. La pression atmosphérique est tel un garrot que l’on
mettrait et qui coupe la circulation du sang. Il suffit donc de desserrer ce garrot
durant une partie de la journée et ce, pour éviter la mort des cellules.
Mon dispositif permet aux cellules de continuer à faire le plein pour continuer à
faire marcher les moteurs toute la journée. Et comme le dit Monsieur Nicklas
Brenborg, il suffit que les cellules retrouvent leur environnement normal.
Ce n’est pas plus compliqué que cela et je cherche sans cesse à le banaliser
pour que tous les humains, en commençant par les Français, fassent le
nécessaire pour ne plus subir la face nocive de la nature.
Pompes funèbres – n° 08 – 03102022 – Parution le 13 octobre 2022
Je ne sais pas encore si cela conduira à faire l’homme immortel mais ce dont je
suis certain, c’est qu’il ne vieillira plus en utilisant ce dispositif et qu’il
conservera toute son énergie initiale tout au long de sa vie.
Des responsables, à haut niveau, m’ont demandé si j’avais conscience de ce
que pouvait transformer ce dispositif dans notre vie. Oui, j’en ai conscience et
j’en connais les conséquences : éviter la souffrance, éviter la vieillesse dans un
monde nouveau.
