Les maladies mentales touchent une personne sur trois, au cours de sa vie, soit 30% de la population.
Ne pourrait-on pas rechercher les causes dans les phénomènes naturels plutôt que de rechercher des médicaments pour soigner ?
Le cerveau est un organe fragile. Il subit de plein fouet les phénomènes dangereux de la nature qui troublent les constantes, piliers de notre vie. Phénomènes qui peuvent bloquer la circulation du sang dans certains vaisseaux et qui peuvent aussi dessécher certaines cellules.
Le cerveau peut aussi faire partie des organes défectueux que l’on peut éviter. Il n’est pas un cas à part, il est comme tous les autres organes, soumis à des constantes. Ne faudrait-il pas protéger ses constantes en essayant de réguler les phénomènes naturels auxquels elles sont soumises ?
Ces phénomènes peuvent être les pressions atmosphériques mais aussi les flux magnétiques.
On s’aperçoit d’ailleurs que ces maladies mentales sont plus importantes à certains moments de la vie et je dirai aussi à certains moments de la journée.
En, ce qui concerne les pressions atmosphériques et les flux magnétiques, nous savons les réguler. Mais pour ce faire, il faut se mettre dans la tête que l’on ne résoudra rien par les médicaments mais plutôt par des régulations de la nature, à certains moments, dans certaines périodes de la journée.
Je tiens à préciser d’ailleurs que le Code du Travail en fait état et qu’il impose de les réguler.
Ce n’est pas le hasard, c’est une réalité. Nous parviendrons à réguler ces constantes, faut-il encore que le monde médical en ait conscience et que pouvoir politique l’impose.
Dire : « pas d’impôt »
Dire qu’il ne faut pas d’impôt supplémentaire ne suffit pas. Il faut apporter les moyens de compenser les déficits.
Dans le budget de l’Etat, il y a deux postes importants, ce sont le sanitaire et les retraites qui, à eux deux, coûtent lui 750 milliards, chaque année. Ce sont donc ces deux postes qu’il importe de réduire de 50%. Comment y arriver ?
C’est en mettant un terme à toutes les grandes maladies, virus, grippes, etc. c’est aussi en assurant une vie beaucoup plus longue, en ce qui concerne les retraites.
Vous allez me dire que c’est impossible. Non, non, à présent on a la solution. L’Etat se doit de l’imposer, c’est son devoir.
Economiser 350 milliards chaque année résoudra le problème économique de la France et apportera une nouvelle vie à tous les Français.
Cela va coûter 30 milliards sur 20 ans et permettra d’économiser 7 000 milliards, sur 20 ans.
Michel Barnier, je vous demande de l’imposer. Ce n’est pas une économie de bout de chandelle, c’est le futur de la France qui est en jeu, et vous le savez.
Ce n’est pas de la magie, ce sont des mathématiques et les mathématiques ne se trompent pas.
Ne pas y croire aujourd’hui, c’est porter atteinte à la vie d’autrui et à notre économie.
Tout ce que je fais, tout ce que je propose dans le cas présent, ce n’est rien d’autre qu’une assistance à personne en danger et vous, Monsieur le Premier Ministre, vous avez fait de l’année 2024, l’année des maladies mentales. Ce n’est pas seulement le mental qui importe, c’est la vie qu’il faut prolonger en pleine forme.
