L’écologie irrationnelle conduit à la guerre

Oui, l’écologie politique conduit l’Occident à la guerre par dépendance. Il n’est pas possible de prêcher l’écologie sans apporter de vraies solutions par la destruction des causes.

Si l’hydrogène peut remplacer le pétrole, ce n’est que pour réduire la pollution. En faisant revivre les déserts par la culture, on apporte la solution au réchauffement climatique. D’ailleurs, le ciel nous le dit en nous envoyant, ces derniers  jours, des millions de tonnes de sable pour rappeler aux Occidentaux que les déserts existent, et la nature nous démontre, si besoin était, qu’en nous envoyant du sable, on peut aussi  nous envoyer de la chaleur.

La nature nous donne un choix : ou accepter les déserts et mourir de sécheresse, ou faire le nécessaire pour éviter que l’ensemble de nos pays occidentaux ne se recouvrent eux-aussi  de sable. Comment fera-t-on quand la ligne rouge sera dépassée si l’on ne s’y prend pas tout de suite ?

Les écologistes, en refusant le nucléaire, vont nous dire : vous voulez remplacer un mal par un autre mal. Il est trop facile de dire quand on ne fait rien pour éviter le mal.

C’est aussi à nous, humains, de maintenir une régulation toute naturelle. On a laissé trop longtemps les déserts se développer. Il faut, d’urgence, en arrêter le développement et en faire des espaces de cultures ou de reboisement.

Décidément, le sable devient notre ennemi, car c’est dans le sable que l’on trouve aussi le pétrole et ce pétrole, c’est notre pollution.

Aura-t-on, un  jour, le courage de prendre de bonnes décisions et d’écouter, pour une fois, un certain nombre de scientifiques ?

En fait, le nucléaire permettra de supprimer la pollution et aussi de produire l’énergie nécessaire dans les déserts.

Reviendra-t-on à la raison et au bon sens pour nous faire parvenir à l’évidence ? Il ne suffit pas de crier au loup, il faut aussi s’en protéger par un équilibre indispensable.

Ni le monde sanitaire, ni le monde politique

Ni l’un, ni l’autre, ne remplissent leur fonction originelle. L’exemple d’Hippocrate n’est plus de rigueur, l’exemple des grands hommes politiques tels que de Gaulle, Churchill, Truman, n’est plus l’idéal des politiques.

L’un et l’autre se servent de leurs savoirs ou de leurs électeurs pour gérer des fonds de commerce, médicaux ou politiques.

L’argent a ébloui ces deux mondes ; le résultat n’est plus à l’ordre du jour, il n’est plus la finalité des uns et des autres.

Pour l’ouvrier, pour l’artisan, pour le commerçant, le résultat de leur travail est leur seule cible. L’obligation de résultat, dans le monde médical comme en politique, n’existe pas, il n’y a qu’une obligation de moyens, et là-encore comment utilisent-ils ces moyens ?

J’exclurai de tout ce petit monde les médecins de terrain, qui vont, de maison en maison, soigner mais surtout apporter un peu de compassion.

Pour les politiques, il suffit de faire acte de présence, de temps en temps, à l’Assemblée Nationale, pour recevoir un salaire et des indemnités quelque peu abusifs… Quand on voit combien sont payés ceux qui travaillent sans obligation de résultat, on peut tout de même se poser des questions. Bien souvent, hélas, ils se servent d’un diplôme sans avoir la vraie connaissance ou de la notoriété d’une école qui a donné au monde quelques génies, certes, mais si peu.

Il existe, dans la population française, des intelligences exceptionnelles : elles ne sont pas toutes dans les écoles, loin s’en faut. Mais, très souvent, ces intelligences se trouvent barrées par ceux qui croient savoir. Il faudrait rappeler à tout ce petit monde de politiques et de Conseils Scientifiques que c’est à l’État, et donc au peuple, qu’ils doivent leur prétendu diplôme.

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