Est-ce une bonne guerre qui est menée, tant sur le plan sanitaire que sur le plan économique ?
Sur le plan sanitaire, les masques peut-être, les charters en provenance de tous les pays du monde, non. Les espaces frigorifiques ne sont même pas visités. Nous ne prenons pas la bonne mesure : soigner n’est pas la seule solution. Eviter les virus, les détruire là où ils sont, sont les bonnes solutions.
Les scientifiques nous ont, en fait, donné l’élément essentiel : la chaleur. Le virus meurt à 60° mais il meurt aussi à 35 ° quand la chaleur est couplée à des ultraviolets.
Que fait-on pour le million de Français qui, tous les jours, travaillent dans des chambres frigorifiques, derrière des comptoirs frigorifiques, qui déchargent des camions frigorifiques, promenant ainsi les virus à travers toute la France ?
Les dépistages, je veux bien, mais qu’apportent-ils réellement ? Mettre en quarantaine ceux qui sont positifs au Covid-19 mais qui ne se développera jamais chez eux : n’est-ce pas une double peine ?
N’attendons pas tout, non plus, du soleil et des rayons ultraviolets. Faisons le nécessaire pour éviter que le virus puisse vivre et survivre dans les zones réfrigérées.
Aujourd’hui, les scientifiques, à qui l’on parle d’éradiquer le virus, nous répondent tous : « on ne sait pas faire ». Mais je finirai par croire que l’on répondra la même chose quand il faudra détruire les nids de frelons ou de moustiques tigres ! Et il en est de même pour la grippe qui revient chaque année. Ce n’est pas une génération spontanée. Elle n’est pas là par hasard. Et que fait-on pour l’empêcher d’arriver ?
Il est vrai que c’est un virus invisible. Mais on va nous l’importer rapidement, par charter, au début de l’année prochaine. Et que dira-t-on pour la soigner « je ne sais pas ». Bien sûr, il existe un vaccin fiable à 35 ou 50 %. Et pour le reste, on acceptera 10 000 morts… !
Si l’on veut bien réfléchir un petit peu, on constate que la mondialisation a accéléré les conséquences du virus. Autrefois, les épidémies arrivaient par bateaux, mais ce n’était pas quotidien. Aujourd’hui, ils sont des centaines de charters à atterrir à Roissy, Orly et dans les grandes villes et que fait-on à leur arrivée ? On déroule le tapis rouge sans la moindre protection, sans la moindre contrainte. Et cela continue à ce jour. On pourrait peut-être obliger tous ces voyageurs à fournir un certificat attestant qu’ils n’ont pas de maladie virale.
A défaut de cette preuve, il faut que le Commandant qui est le seul maître à bord après Dieu, fasse le nécessaire, pendant le voyage, pour neutraliser tout ce qui est viral. Et cela, nous savons le faire par les ultraviolets, efficaces dans 95 % des cas. Ce sera déjà beaucoup mieux que des charters entiers de virus qui vont se disperser dans tous les territoires.
Quand une vigne est atteinte par le mildiou, que fait-on ? On n’est jamais arrivé à le supprimer par des produits phytosanitaires, on en est encore au stade où il faut arracher la vigne. Il est évident qu’on ne va pas tuer les voyageurs !!!, mais nous savons comment éviter le virus.