Aujourd’hui, le temps, sous les assauts des forces de la nature, nous est compté à 83 ans de moyenne et ce, sans la moindre assurance.
Demain, le temps qui nous sera alloué ira jusqu’à 180 ans, c’est la donnée mathématique de notre vie et ce, en conservant toutes nos facultés physiques et intellectuelles.
La maladie, la vieillesse, ne seront plus les risques de demain. Les handicaps de la vie actuelle ne seront, en aucun cas, une nécessité. Ils ne sont causés que par oubli, par négligence, du maintien des différentes constantes de la vie.
Nous avons totalement oublié les constantes invisibles et non ressenties qui gèrent notre vie. Je dirai que la mort ne pourra survenir que par l’usure du moteur mais rien ne nous dit que demain :
- le moteur puisse beaucoup moins se fatiguer et s’user
- la technique aura mis au point une technologie qui sera un moteur de rechange.
On souhaite quitter ce monde simplement parce que la souffrance physique et morale deviennent insupportables.
Ayant trouvé des solutions à ces souffrances, je ne connais personne qui souhaite quitter ce monde ou nous fausser compagnie.
L’univers et si grand qu’il ne demande qu’à être visité et parfois, peut-être, à être peuplé.
Dans les mois à venir, on risque une troisième guerre mondiale. Ne pourrait-on pas, nous Français, mettre en place un nouveau dispositif de santé et un futur pour chacun ? Rien, absolument rien ne s’y oppose. A nous de respecter les constantes de la vie, simplement en les régulant.
Envisager une telle vie, c’est accepter de remettre en cause la nature et les religions.
Six contre un, et l’on a peur
La Russie, c’est 140 millions d’habitants. L’Europe et ses amis, ce sont 800 millions.
Si l’on écoute les médias, sans les Etats-Unis, nous n’avons aucune chance de gagner, face à la Russie. Même en économie de guerre, la Russie ne fait pas le poids.
L’Europe endormie s’est réveillée et rien ne pourra l’empêcher d’aider l’Ukraine afin qu’elle gagne la guerre.
Les Etats-Unis ont une technologie de pointe mais la France et l’Europe en ont une aussi. En revanche, il n’y a plus de place pour les demi-mesures. Nous ne devons pas baisser les bras face à un régime autoritaire pour qui la vie n’a pas d’intérêt.
Mais comment a-t-on pu être aussi peu vigilant ? L’expérience des autres guerres mondiales n’a pas suffi. L’Europe et l’Occident ont hiberné en croyant que seul le bien-être suffisait : ils ont oublié la liberté.
La France avait choisi un matériel de guerre compliqué et coûteux. On s’aperçoit aujourd’hui avec les drones qu’on finit par faire la guerre avec peu d’argent.
Aura-t-on le courage de reconnaître nos erreurs. ? Aura-t-on la force de se relever très rapidement ? Mais a-t-on seulement le choix.
