La nature nous prête la vie, et elle est jalouse de cette vie qu’elle nous a prêtée. Elle va tout faire pour détruire cette vie. Elle possède une double face : celle de donner la vie et celle de détruire la vie.
Après nous avoir remis la vie, la nature va construire, pierre après pierre, l’édifice qui conduira à la mort, par le cancer et par les grandes maladies.
C’est la nature qui donne, c’est la nature jalouse qui reprend. C’est à l’homme de la réguler et de dompter tous ses éléments négatifs. C’est le trop-froid, c’est le trop-chaud, c’est la sécheresse, ce sont les inondations… C’est aussi le vent qui apporte la tempête, qui arrache les toitures et les arbres, c’est le volcan qui crache son feu et sa lave, brûlant et réduisant en cendres des villages entiers.
Mais c’est la nature qui apporte la vie, qui apporte l’amour dans de bonnes ou de mauvaises conditions.
La nature construit l’édifice de la vie et la mort. Et c’est à nous, humains, de réguler tout ce qui est possible afin de vivre paisiblement les jours heureux sur cette terre. C’est le trop de pressions atmosphériques et c’est l’excès de leurs variations qu’il faut aussi réguler.
C’est pour ce faire que j’ai fabriqué le régulateur de pressions atmosphériques qui mettra fin aux cancers et aux grandes maladies afin que nous puissions vivre plus longtemps, en pleine forme, sans fatigue excessive. Il permettra également à l’homme une meilleure productivité en détruisant l’épée de Damoclès qui plane sur lui depuis sa naissance.
Oui, je pense que ce sera bientôt un nouveau monde, un nouveau bien-être qui, je l’espère, ne sera pas détruit par les spéculateurs et par les monopoles.
Oui, je répète très souvent ces deux mots : spéculation et monopole, qui nous pourrissent la vie. Et il faut se rappeler que c’est toujours la nature qui gagne.
Notre avenir, notre espérance, reposent sur peu de choses. La prévention, la régulation, nous éviteront de subir la nature pour pouvoir en profiter.
La vie, miracle de la nature, on l’appelle miracle parce qu’on ne sait ce dont il s’agit et que l’on n’a jamais pu le faire nous-mêmes. Même les plus grands scientifiques n’y sont pas parvenus et c’est très bien ainsi et cela démontre le peu de possibilités de l’homme, même de la part des grands scientifiques.
