Oui, l’épidémie est terminée par un confinement douloureux faute de soleil et faute d’avoir pratiqué les soins qui auraient évités l’hécatombe.
Oui, on a facilité la dangerosité de la Covid-19 en faisant respirer aux patients de l’oxygène à 18° au lieu de 40°. C’est une erreur médicale, il faudra s’en souvenir pour la prochaine grippe et peut-être pour d’autres virus.
Oui, on aurait dû et pu éviter cette hécatombe mais les habitudes du médical ont entravé un protocole nécessaire pour neutraliser la Covid-19.
Il nous en coûtera près de 1 000 milliards une fois que tous les comptes seront faits.
J’ai écouté l’allocution du Président de la République. De fait, il semble prendre le bon chemin proche du gaullisme. J’espère que des mesures fortes du point de vue économique et du point de vue médical, quoi qu’il en coûte, seront prises par le Président.
Deux cancers doivent être éradiqués, cette fois sans faute médicale et sans faute économique. Il y a le cancer qui ronge la santé des Français, dès la naissance, avec toutes les conséquences sociales, humaines et mortelles. On se prive d’une énergie qui nous sera pourtant nécessaire pour accroître notre production et notre productivité. Rien ne pourra évoluer sans éradiquer ou éviter les cancers et les grandes maladies qui, d’une manière ou d’une autre, paralysent les Français par une épée de Damoclès qui plane sur eux. Nous en connaissons les causes et nous en connaissons aussi la solution.
Il y a un autre cancer, économique celui-là, qui neutralise totalement notre productivité et notre compétitivité. C’est l’imbécile financement de la santé par le travail. C’est exactement comme si l’on supprimait l’oxygène pour respirer. Dans le concert économique mondial, la France a besoin d’oxygène pour être productive et compétitive. Baisser les prix de 15 à 20 % est la seule solution rationnelle qui entraînera la joie du travail, la joie du pouvoir d’achat et le moyen de vendre à l’international.
Les mots comptent, les actes apportent les résultats. Une bonne santé des Français et en pleine forme, c’est la réussite de l’économie. Ce sera produire plus sans la moindre fatigue supplémentaire tout en travaillant moins d’heures.
Produire c’est bien, mais vendre à des prix compétitifs, c’est une nécessité. Espérons que la pandémie que nous venons de subir ne sera qu’un mauvais souvenir grâce à un rebond économique de la France.
Espérons que le médical acceptera de faire vivre les Français par la prévention et par les moyens naturels et techniques à notre disposition.
Restera le problème, ignoble peut-être, du fonds de commerce du médical et de la dictature à laquelle sont soumis les médecins. Supprimer le monopole médical en est la solution.
Il n’y a pas que le médical, en France, qui cherche et qui trouve. Ne l’oublions pas !