Il s’agit de sauver, chaque jour, 15 000 personnes dans le monde terrassé par un virus.
Nous sommes en guerre, il faut accepter d’utiliser une arme de guerre qui n’est pas un jouet, ni un gadget pour bronzer ! L’arme que je propose est une arme puissante à n’utiliser qu’en dehors de la présence de tout être humain ou animal. C’est une arme pour tuer le virus en quelques minutes car il ne résiste pas plus de 6 minutes face à un rayonnement d’ultraviolets, naturel ou artificiel.
Nous sommes en guerre et les armes utilisées n’ont pas à subir, ni d’habilitation, ni d’agrément, ni de normes. Pour ces armes, il n’y a rien à demander au Ministère de la Santé. Je ne pense pas que lorsque les Américains ont utilisé en 1946 l’arme nucléaire, ils aient demandé quoi que ce soit à qui que ce soit.
Aujourd’hui, l’agresseur n’est ni un pays, ni une religion, c’est une civilisation invisible qui vit à son rythme.
Qui vit à ses conditions, et qui a pour but de mettre à, genoux tous les pays dont la France.
Nous avons déjà le cancer qu’il faut éradiquer par la régulation des pressions atmosphériques mais, à la minute présente, il est hors de question de vivre « avec » les virus et les cohortes de morts qu’ils entraînent dans le monde entier.
Nous devons changer de stratégie, et l’on dit bien que pour avoir la paix, il faut préparer la guerre. Et même si les vaccins peuvent éviter de 15 à 20% de morts, ce n’est pas suffisant parce que l’on s’est trompé de cible. La cible ne doit pas être exclusivement de soigner ; notre cible est de gagner la guerre en éradiquant les virus en dehors du corps humain.
C’est pourquoi j’ai proposé d’utiliser les rayons ultraviolets partout.
Je dis bien partout, où le virus peut transiter ou séjourner, voire se développer. Tous ces endroits sont vides de la présence de quiconque pendant au moins 50% du temps.
L’opération de désinfection générale que je propose, ne dure qu’une demi-heure, même s’il faut la répéter périodiquement quand la pandémie fait partout ses ravages.
L’invisible ne peut être combattu que par de l’invisible, et le rayonnement en est un.
A Messieurs les candidats à la Présidence
Ne perdez pas votre temps à vous critiquer, ce n’est pas ce qu’attendent les Français.
Votre rôle est de rassembler et de rassembler toutes les mesures, toutes les solutions, possibles pour améliorer la vie des Français, voire de les sauver des maladies qui les terrassent.
Oui, les Français n’en ont que faire de vos critiques, ils veulent du constructif, du réaliste, avec leurs causes et leurs solutions. Toute autre chose n’est qu’illusoire pour amuser la galerie.
Votre rôle est de défendre nos libertés, notre sécurité, une vie en pleine forme et le plus longtemps possible.
Votre crédibilité à être Président de la République ne se trouve, ni sur les plateaux de télévision, ni dans des meetings fort coûteux, elle doit être dans la recherche des solutions qu’il vous faut proposer aux Français.
Dès votre arrivée au pouvoir, vous allez devoir combattre un virus qui sera encore présent ; il vous faut trouver des solutions autres que le seul vaccin qui ne protégera les Français qu’à 15 ou 20%.
Il faut rendre audible et lisible tout ce que vous allez proposer. Ce n’est pas avec de grands mots que vous deviendrez Président mais c’est avec de bonnes solutions. De grâce, ne vous déchirez pas s’il en est un, au moins, qui rassemble toutes les solutions pour tous les Français.
En temps de guerre, il va vous falloir une autorité acceptée de la part de tous les Français. Je sais qu’en temps de guerre on aime s’amuser, se distraire, parce qu’on n’est jamais sûr du lendemain, toutefois, il va falloir rappeler tous les Français au travail si l’on ne veut pas que la France tombe dans le déclin.
Être candidat à la Présidence de la République n’est pas une partie de plaisir, cela doit se faire dans la dignité et dans le silence de vos propositions qui auront mille fois plus d’échos que toutes les critiques.
Il ne s’agira pas, cette fois-ci, de prendre une présidence au rabais ou par défaut ; il s’agit de prendre une présidence dès le premier tour de l’élection. Et ils ne seront pas nombreux à savoir le faire.