En fait, c’était normal. La nature est considérée comme un dieu. La maladie, c’était une évidence ; la vieillesse, la fin de vie, c’était inévitable.
Eh bien, non. La nature ne peut être considérée comme un dieu éternel. Non, la maladie, les virus, ne sont pas une évidence nécessaire. La vieillesse, avec une fin de vie plus proche d’un cauchemar que du bien-être, est une machine insupportable, c’est un naufrage.
Qu’a-t-on fait pour éviter ce qui ne tient rien du hasard mais de causes précises et d’absence de solution. Je ne cherche qu’à anticiper ce désastre, ces souffrances atroces et inutiles.
Nous, nous avons fait des lois pour nous abriter de notre incompétence. On dit : « je ne sais pas », on bricole en essayant de la cacher.
La solution est à notre porte et on ne la laisse pas entrer alors qu’on nous détruit. La maladie entre sans qu’on le lui ait demandé.
Bien sûr, les religions, faute de solution, ont adopté l’évidence de la souffrance pour gagner son paradis. Mais Dieu n’a jamais demandé cela dans les Tables de la Loi.
Dans les Tables de la Loi, on demande simplement de respecter l’évidence, la vie, et de la protéger de tout ce qui peut nuire à l’amour, à l’honneur, à l’espérance.
Faire du sport en ayant le souffle
Faire du sport sans se donner les moyens de la compétitivité est peut-être plus dangereux qu’efficace.
Ce n’est pas seulement pour gagner les championnats et les médailles. Ce que souhaite beaucoup de sportifs et leurs dirigeants, c’est de gagner de l’argent. Les sponsors de nos sportifs de haut niveau ne cherchent qu’à profiter de nos athlètes.
Mais, en fait, faire du sport avec un souffle, c’est faire fonctionner normalement nos cellules. Nos cellules veulent vivre avec l’oxygène et il en est de même pour tous les organes qui doivent produire les éléments essentiels à la vie.
Rafler des médailles et des championnats, c’est aussi donner à la France les meilleurs athlètes et à nos enfants, les facultés physiques et intellectuelles fulgurantes.
Utiliser Hygée le régulateur, c’est tout cela.
Voir grandir nos enfants comme des champignons, c’est magnifique. Eviter de les voir vieillir, c’est leur tracer un futur.