La France compte des milliers de chercheurs, des milliers d’ingénieurs, des milliers de médecins, des milliers de professeurs, des milliers de commerçants, d’artisans ou tout simplement de salariés, mais ont-ils tous du talent ?
Le talent, c’est quoi ? C’est faire quelque chose à partir de rien. C’est ainsi qu’un artiste fera d’un bout de bois un chef-d’œuvre, c’est ainsi qu’un ingénieur apportera à la société de nouvelles techniques, c’est ainsi qu’un médecin découvrira ce qui n’a jamais été découvert à ce jour.
Les talents de notre pays frôlent parfois l’impossible, l’inimaginable, mais c’est cela le talent ! Le talent, c’est savoir observer, constater et interpréter, c’est réunir tous les éléments qui permettront d’aboutir à nouveau bien-être de vie, que ce soit un chef-d’œuvre artistique ou tout simplement une découverte scientifique ou technique.
Le talent, c’est de découvrir les causes, les causes les plus simples, les plus naturelles, les causes qui, parfois, paralysent notre vie.
Mais, est-ce que la France souhaite avoir des talents ? Est-ce qu’elle ne vend pas ses talents à l’étranger ? En un mot : conserve-t-elle ses talents ?
J’aurais tant voulu que l’on ait une France qui a du talent et non une science livresque qui n’a rien à voir avec le talent.
Le pouvoir d’achat et l’augmentation des salaires
Le pouvoir d’achat ne peut pas être résolu uniquement par l’augmentation d’un salaire. C’est nier l’évidence de refuser l’accroissement du pouvoir d’achat par une baisse des prix.
Choisir l’augmentation des salaires, c’est priver la France de toute exportation, revenir à la case départ à chaque fois car, qui dit augmentation des salaires, dit augmentation des prix. Aujourd’hui, la balance commerciale de la France est déficitaire de près de 80 milliards chaque année. Et pourquoi celle de l’Allemagne est-elle bénéficiaire de plus de 150 milliards ? Il faut, une fois pour toutes, se poser la question.
En France, le coût des grèves est fabuleux, ce qui ne n’est pas le cas en Allemagne. En France on n’obtient de résultats que par une grève ; en Allemagne, on obtient les augmentations par la concertation.
Mais il existe une autre raison qui conduit la France à une solution déficitaire permanente. Cela est valable aussi pour les autres pays, car on va travailler parce qu’il faut gagner de l’argent.
Moi je propose que l’on aille travailler avec plaisir, sans la moindre peur.
Je propose que l’on mette fin aux maladies les plus graves telles que le cancer, les virus, les maladies d’Alzheimer, de Parkinson et autres. Je veux redonner à la France l’envie de vivre, l’envie d’apprendre, l’envie de travailler. Travailler en pleine forme changera la phase du monde. La peur paralyse le monde.
Ce dispositif que je propose est d’une simplicité telle que l’on a du mal à comprendre pourquoi cela n’a pas été fait depuis longtemps. Et je citerai la réflexion de tous les professeurs que j’ai rencontrés pour leur exposer ma solution : « on n’y avait pas pensé ».
Ce que je propose, c’est la fin des virus par l’éradication, c’est la fin des cancers et des grandes maladies cardiovasculaires et dégénératives.
Tout ça par la régulation des pressions atmosphériques. Je sais que c’est une montagne qu’il faut franchir mais la solution est si peu coûteuse et si rapide !, et il faudra bien y parvenir.
De la même manière, avec plein de bon sens, si être en pleine forme est une solution de base, la solution économique matérielle serait de transférer les charges salariales et patronales qui pèsent sur les salaires, sur le budget de l’Etat.
Tout ceci sera largement financé par la fin des maladies et par une multitude de conséquences supplémentaires telles que la fin du chômage, la fin des jours d’absence qui coûtent une fortune et aussi, pour l’Etat, la réduction des charges salariales et patronales des fonctionnaires qui représentent 5 milliards par mois.
Faire baisser les prix de 20% n’est qu’une mécanique budgétaire.
Redonner la forme à tous les Français, c’est imposer aux scientifiques ce à quoi ils n’avaient pas pensé. Ce n’est tout de même pas extraordinaire mais c’est davantage qu’une campagne électorale, c’est une campagne mondiale qui est à portée de main de tous.
Je pense que nous ne parviendrons pas à résoudre les problèmes de la France et des Français par du bricolage. Je sais que notre économie dépend aussi des matières premières mais elle dépend plus encore de notre vie et de la manière dont nous la subissons et que l’on doit totalement changer en commençant par le pétrole à remplacer par l’hydrogène et par l’uranium qu’il faut remplacer par le thorium avec de minicentrales nucléaires.