Faut-il investir pour soigner le mal ou la maladie ? Ou faut-il investir pour éviter le mal en éradiquant la cause ?

Soigner le mal est souvent accompagné du « on ne sait pas », et l’on soigne sans connaître la cause, certes, avec beaucoup de courage.
Investir pour éradiquer les causes me paraît plus efficace, plus rationnel, plus humain, plus économique aussi.
Après les épidémies, on va chercher les médicaments qui auraient pu éviter les morts, mais après seulement.
On va chercher pour l’avenir mais ce que l’on aura trouvé ne correspondra pas nécessairement au nouveau virus, à la nouvelle maladie.
C’est une erreur, jamais rien n’est identique. Et il faudra trouver un nouveau médicament, et ainsi de suite.
Evidemment, l’idéal serait de trouver un médicament universel. Mais les maladies sont souvent très différentes et ne proviennent pas toujours des mêmes causes.
Il n’y a qu’un atout qui est toujours le même, la défense immunitaire qui pourrait parer à toutes les attaques de tous genres et d’où qu’elles viennent. Mais on la néglige. C’est cette barrière-là qu’il faut retrouver, et nous savons le faire, nous savons même l’activer.
Mais, comme d’habitude, on a pris l’habitude de ne rien faire. On oublie toujours de reconstituer sa défense. Ce n’est pas une ligne Maginot, c’est une défense naturelle qu’il faut préserver.
Et même quand on connaît la cause des maladies, on préfère choisir de soigner que de l’éradiquer. Quand on parle de cause, on vous dit « on n’y a pas pensé ». On connaît mieux les formules chimiques que le bon sens de la nature qui possède toujours l’antidote.
On connaît à présent la cause des cancers. Elle est tellement évidente, mais personne n’y a pensé.
La cause des virus, et ils seront nombreux, on la connaît mais c’est trop simple. Il est à peu près certain que le réchauffement climatique n’est pas étranger à ce réveil. Mais le réchauffement climatique aussi, on sait comment agir : ce ne sera pas par des formules chimiques mais simplement par du naturel qui consiste à reboiser les déserts.
Tout ceci fait partie de l’esprit d’un nouveau monde et j’espère que la conscience collective primera sur les intérêts financiers.