L’avenir du social en France

L’avenir du social, en France, passe par la suppression des grandes maladies, virus et cancers.

L’avenir d’une nation ne peut se faire avec un peuple malade dès la naissance. Les maladies font perdre à l’homme plus de 50% de son activité physique et rendent le peuple impuissant face à un futur exceptionnel. La maladie est un frein à tout devenir, à tout futur.

Ce qui est paradoxal, c’est que nous savons comment faire pour rendre toute son énergie à l’homme et ce, par des solutions simples, naturelles, techniques. Ce n’est que par le constat que l’on se rend compte des effets néfastes et dangereux de la nature. La nature est aussi exceptionnelle en bien qu’en mal.

Et si l’on ne résout pas aujourd’hui le problème, c’est seulement par incrédulité de pouvoir éviter toutes ces maladies.

Il n’a pas une maladie sans cause et il n’y a pas d’homme qui conserve son énergie sans éradiquer les causes.

Aujourd’hui, si l’homme est malade, c’est de sa faute et de personne d’autre. Les médecins traditionnels pensaient à soigner partiellement mais n’évitaient pas les conséquences, tout simplement parce que l’argent est passé par là. La médecine est devenue un État dans l’État. Elle n’a aucun intérêt à éviter les causes : c’est son fonds de commerce. C’est une faute, voire un crime contre l’humanité, provoquée par l’homme et par l’argent.

Le plus difficile aujourd’hui, c’est de gagner du temps sur le temps, ce n’est plus de rechercher quoi que ce soit, c’est d’appliquer ce que j’ai découvert. Je sais qu’il est impensable, pour  nos chercheurs, de mettre en cause la nature, et pourtant, c’est une évidence que l’on doit accepter, après des siècles de recherche qui n’ont abouti qu’à soigner et non à éviter.

Il faut quand-même être logique : aujourd’hui, le COVID est soigné par une potion magique qui n’a d’ailleurs rien qui permette de tuer la cause.

Un social qui ne se contente que du présent sans apporter les solutions pour l’avenir, ne pourra qu’échouer. Oui, l’homme doit pouvoir vivre en pleine forme, depuis sa naissance et encore beaucoup plus longtemps qu’aujourd’hui.

Aujourd’hui, on est malade du cancer ou des virus pour ne pas avoir cru à l’évidence et au bon sens. Et pourtant, un éminent Prix Nobel, le Professeur Yoshinori Ohsumi,  a confirmé que les cellules mortes sont bien la cause des cancers, des grandes maladies d’Alzheimer, de Parkinson et même de Charcot.

Quant aux virus, le ridicule ne paie pas. Dire qu’il faut ouvrir la fenêtre pour que le virus s’envole : on ne peut pas être plus insensé. Si virus il y a dans les locaux clos, c’est comme une guêpe que l’on peut détruire avec un simple verre en l’empêchant de sortir.

Il n’y aura pas de social avec les maladies, on pourra atténuer les difficultés mais tant qu’on n’aura pas détruit les causes, ce que je sais faire, le social ne pourra pas survivre.

Le guidage tordu des forces de l’argent

Nos chercheurs ne cherchent plus à mettre fin aux causes, quelles qu’elles soient ; ils sont formatés pour enrichir encore la spéculation car la spéculation ne peut être évitée que par une simple décision du Président de la République.

On ne cherche plus pour être fier de ce que l’on a découvert. On ne cherche plus que pour enrichir les laboratoires en multipliant toutes sortes de potions magiques au lieu de sauver les vies en éradiquant ou en régulant les causes, à un coup ridicule.

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