Après avoir trouvé la solution pour les grandes maladies, connues mais non résolues, je vais tenter d’aborder le problème des maladies orphelines.
Il n’est d’ailleurs pas impossible que certaines d’entre elles entrent dans le cadre d’une régulation.
Toutefois, s’il n’y a pas trop de Français atteints de maladies orphelines, avec l’utilisation du « je ne sais pas », elles semblent tout de même exister.
Vaste programme ! Mais le processus d’abordage sera le même.
Je ne sais pas si j’y parviendrai mais je vais tout faire pour mettre fin à ces exceptions.
Il faudra du temps qui malheureusement m’est compté. Mais peut-être que, d’ici là j’aurai fait quelques disciples qui poursuivront le même combat. Sur 6 milliards d’habitant de cette planète, il y en a bien quelques-uns pour qui la vie n’a pas de prix.
Je veux simplement donner déjà un peu d’espérance en essayant.
Après avoir atteint des cimes
Après avoir atteint les sommets, il faut bien, un jour ou l’autre, descendre et la descente est parfois plus difficile que la montée…
Monsieur Poutine, il va falloir descendre en évitant de se faire descendre…
Il peut y avoir des écueils mais l’espérance peut renaître. Monsieur Poutine et la Russie vont devoir quitter la Syrie et l’Ukraine.
En Syrie, il aura investi des sommes fabuleuses pour installer des bases aériennes et navales en Méditerranée. Que d’argent perdu au détriment des Russes ! Il l’aura perdu sans combattre.
Espérons, au passage, que ses remplaçants ne soient pas pires que lui.
Il va falloir attendre pour voir. Mais trop souvent, hélas, les religions détruisent plus qu’elles ne construisent.
A présent, il faut que Poutine comprenne qu’il doit aussi quitter l’Afrique car, ce qui s’est passé en Syrie, ne tardera pas à se passer en Afrique.
L’Ukraine vient de recevoir plusieurs dizaines de milliards pour poursuivre son combat.
Monsieur Zelenski sait à présent qu’il va gagner et, pour se faire, il va détruire toutes les forces militaires et énergétiques de la Russie.
Même si Monsieur Trump s’y oppose suite au pacte de non-belligérance signé entre lui et Monsieur Poutine, il faudra bien qu’il se rende à l’évidence.
Les troupes de l’OTAN sont prêtes à entrer dans le combat, un combat qui sera d’abord aérien et qui permettra aux forces au sol de repousser les Russes au-delà des frontières.
Penser que la Syrie devienne un pays démocratique, ce n’est pas encore gagné car, là-aussi, il y a le chemin de Damas.
Alors, espérons !
